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Dans le cadre de la réforme territoriale, la Gauche Indépendantiste bretonne (Breizhistance-IS) a apposé plusieurs banderoles sur  les rocades rennaises le mercredi 25 juin appelant à manifester le samedi 28 juin à Nantes à 14h devant la préfecture.
@Bretagne-info
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Nous relayons ainsi l’appel du collectif 44=Breizh, organisateur de la manifestation.
Nous sommes fermement opposés à la réforme territoriale proposée le 2 juin dernier par François Hollande, fermement opposés aussi à toute idée de fusion de la Bretagne administrative avec les Pays-de-la-Loire dont les partisans de la métropolisation se font les chantres: N.Appéré, F.Cuillandre, D.Samzun, J.Rolland (maires PS de Nantes,Brest,St Nazaire et Nantes), ainsi que E.Couet (PS) président de Rennes Métropole. Nous sommes aussi fermement opposés à l’idée d’une Assemblée de Bretagne dans une région Bretagne/Loire comme le souhaite des sénateurs EELV dont Ronan Dantec et Joel Labbé.
Nous sommes depuis longtemps partisans de la réunification de la Bretagne avec en son sein une Assemblée dotée de compétences législatives et économiques.
A l’occasion de la manifestation du 28 juin, nous souhaitons rappeler ces revendications et insister sur le fait qu’un référundum organisé à la base par les bretons pour savoir si oui ou non les bretons souhaitent un tel cadre de vie est premièrement  un est des mots d’ordres de la manifestation et  qu’il permettra deuxièmement de sortir de l’impasse dans laquelle nous nous trouvons depuis  plus de 40 ans. Car oui le peuple doit être consulté sur l’organisation de son cadre de vie !
@Bretagne-Info
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La Gauche Indépendantiste

 

Jean-Jacques Urvoas, député du Finistère et président de la commission des lois à l’assemblée nationale a déclaré cette semaine en conférence de presse l’intérêt qu’aurait la Bretagne à être à «l’avant garde» du projet de décentralisation gouvernemental en proposant la fusion des départements bretons et de la région dans une « assemblée bretonne ».

   jean-jacques urvoas

                                                                                   Photo ANTONIOL ANTOINE/SIPA

C’est la proposition que la Gauche Indépendantiste bretonne faisait dans sa plateforme électorale de 2008 et reprise dans son pour les élections régionales de 2010.

Nous nous félicitons qu’un député du parti socialiste français reprenne cette proposition à son compte.

Cette proposition de collectivité nous la défendons en tant que force politique indépendantiste dans toute les initiatives particulières et collectives que nous menons. C’est notamment celle que nous retrouvions il y a plusieurs mois au sein de la plate-forme Libérons les énergies en Bretagne, à l’occasion des nombreux rassemblements devant la Région Bretagne à Rennes, le Conseil Général de Loire-Atlantique à Nantes lors de notre campagne pour un Parlement Breton en 2012 et 2013, lors de la manifestation de Morlaix de décembre 2012.

Alors que les termes d’assemblée ou de parlement commence à être accepté s par plusieurs strates de la société comme nouveau type de gouvernance pour la Bretagne, nous réaffirmons qu’une collectivité unique regroupant les compétences actuelles des départements et de la Région, dans le cas impératif d’une Bretagne réunifiée, et avec des compétences réglementaires et parlementaires larges, est la proposition à défendre dans la cadre du débat sur la décentralisation de l’Etat français. C’est un minimum démocratique acceptable, qui à terme permettra à la société bretonne de poser les bases d’un véritable droit à l’autodétermination. C’est le statut institutionnel de base qui nous permettra de suivre les exemples de l’Ecosse ou de la Catalogne dans leur lutte pour l’indépendance.

 

La Gauche Indépendantiste

 

 

 

En conférence de presse le 14 janvier, le président François Hollande s’est exprimé sur l’organisation territoriale de l’Hexagone. 

“Notre organisation territoriale devra être revue” pour “en finir avec les enchevêtrements, les doublons et les confusions” de compétences. “Il devra y avoir une clarification stricte des compétences entre collectivités territoriales”, les régions se verront confier un pouvoir réglementaire local d’adaptation”. Puis cette phrase sibylline : “les régions dont le nombre peut aussi évoluer” avant d’ajouter “Il n’y a pas de raison que ce nombre soit le même dans quelques années”.

Ces quelques phrases pourraient laisser penser à une ouverture sur la question de l’unité administrative de la Bretagne et à une évolution des capacités d’action politique de la Région, si seulement le premier ministre actuel n’était pas Jean-Marc Ayrault, défenseur d’une région «grand ouest» dans le cadre d’une réorganisation territoriale.

Ce projet purement technocratique ne répond clairement pas aux souhaits et intérêts des habitants de la Bretagne et des régions de l’ouest de la France. Nous nous en inquiétons, d’autant que depuis quelques années nombre d’administrations sont réorganisées en prenant comme cadre territorial la partition actuelle de la Bretagne. Les récentes mobilisations des Bonnets Rouges avaient en partie fait émerger des revendications institutionnelles pour la Bretagne (Réunification et décentralisation). Mais c’est depuis de nombreuses années et à travers des centaines de manifestations diverses que la revendication d’unité territoriale et de pouvoir régional existent en Bretagne.

Nous ne pourrons faire l’économie d’une amplification de ces mobilisations et de l’exigence d’un véritable droit à l’autodétermination pour le peuple breton sur ces questions, si nous voulons nous faire entendre du gouvernement français.

La Gauche Indépendantiste – Breizhistance IS

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Le 4 avril dernier, la Gauche Indépendantiste Bretonne (Breizhistance-IS) paraphait aux côtés de 8 autres organisations politiques et associations (Ai’ta, Bretagne Réunie, EELV Bretagne, Kevre Breizh, MBP – Mouvement Bretagne et Progrès, Parti Breton, UDB -Union Démocratique Bretonne, 44= Breizh) le texte commun  de la plateforme “Libérons les énergies en Bretagne” comportant 4 revendications majeures pour la Bretagne :

– Ratifier la Charte européenne des langues minoritaires et obtenir un statut de co-officialité des langues de Bretagne.

– Réunifier la Bretagne dans le cadre d’une collectivité territoriale ( Région Bretagne, départements de la Bretagne Administrative, département de la Loire-Atlantique).

– Créer un pôle multimédia bilingue publique (TV et radio).

– Doter la Bretagne d’un statut particulier dotant l’institution bretonne d’un parlement.

Adhérez au manifeste et soutenez nos revendications pour le peuple breton en signant la pétition: galvpondi.net.

 

Blog de la plateforme : http://galvpondi.net/category/blog/

Primael Petit (Breizhistance), conseiller municipal de Saint-Herblain, lors de la votation pour la Réunification du samedi 6 Avril 2013 à Nantes

La Gauche Indépendantiste (Breizhistance-IS) salue la votation symbolique organisée par le collectif 44=Breizh samedi dernier. Cette modeste initiative a révélé un réel engouement parmi les gens qui y ont participé ou assisté.

Dans un contexte où le projet de décentralisation du PS tourne le dos à une déconcentration des pouvoirs et à une réelle régionalisation, cette votation appelle à une amplification de ce type d’initiative qui trace le chemin de l’autodétermination pour le peuple breton face aux défaillances de l’Etat Français.

Jonathan Guillaume (Breizhistance) à St-Nicolas de Redon, jeudi 4 avril 2013, “face à la partition administrative et au projet d’aéroport, la région Pays de la Loire représente le même déni de démocratie”

La journée de samedi donne écho à la plateforme “Libérons les Energies en Bretagne” présentée deux jours avant, et témoigne d’une organisation grandissante de la société bretonne pour arracher plus de démocratie et de liberté face au calamiteux projet de loi qui sera présenté mercredi en conseil des ministres par Mme Lebranchu. D’autres mobilisations sont donc à venir !

Comme à Saint-Nicolas-de-Redon, jeudi dernier, avec les organisations en faveur de la réunification et celles opposées au projet d’aéroport à NDL, nous appelons à nous mobiliser lors des prochains rendez-vous de la région Pays de la Loire, pour rappeler les exigences démocratiques du peuple breton et des habitantes et habitants du pays nantais en particulier.

La semaine dernière, l’amendement 3 ter  a été retiré du projet de loi sur le referendum d’initiative partagée par le Sénat. Il avait été voté en décembre 2011 par le parlement  français et était à l’initiative du député EELV, F. De Rugy. Au travers d’un processus référendaire peu crédible, cet amendement avait le mérite de remettre le processus de réunification de la Bretagne entre les mains de ses habitants et des collectivités Loire-Atlantique et région Bretagne, sans que la région Pays de la Loire ne puisse bloquer ce processus, comme c’est le cas aujourd’hui.

Cette séance, outre les propos caricaturaux du jacobinisme habituel, aura permis quelques interventions intéressantes, et de constater que c’est bien la question spécifique de la territorialité bretonne, qui induit ce débat sur un changement législatif nécessaire. Le gouvernement « partage l’impatience » sur cette question, mais ne peut y répondre du fait de ce que cela pourrait entrainer sur d’autres territoires (intervention du sénateur Fr. Fortassin), où la revendication n’existe pourtant pas. En somme, nous constatons que le cadre législatif de l’Etat français ne permet pas de répondre aux attentes démocratiques spécifiques du peuple breton.

Alors qu’on oppose l’avenir des régions de l’ouest de France à la résolution de la partition administrative de la Bretagne, ce débat au Sénat doit faire comprendre que c’est bien la réunification de la Bretagne qui dénouera ce problème. C’est elle qui permettra d’amener un débat dans les collectivités concernées par un remodelage et une amélioration des limites régionales de l’Ouest de la France selon le modèle proposé aujourd’hui par Bretagne Réunie et plusieurs associations.

Si Christiane Taubira, en tant que représentante du gouvernement, indique que la loi sur la décentralisation à venir pourrait proposer une « opportunité » pour répondre à la question soulevée, nous en doutons fortement. Notamment parce que la ministre de la décentralisation, Marylise Lebranchu, malgré son vote en faveur de l’amendement en décembre 2011, semble indiquer l’inverse dans ses déclarations.

De même, l’avant-projet de loi annonce la création de «communautés d’agglomérations nouvelles». C’est-à-dire la constitution d’une énième structure administrative créant des métropoles aux compétences élargies, notamment pour Nantes et très possiblement pour Rennes. Tout laisse donc présager d’une stagnation des capacités d’intervention au niveau régional au profit d’une prise de puissance des métropoles rennaise et nantaise. Ceci entrainerait nécessairement un accroissement du déséquilibre entre l’est et l’ouest de la Bretagne, entre régions pauvres et régions riches, et compliquerait encore le processus de réunification porteur d’une vision régionale et équilibrée du territoire. Le peu de compétences nouvelles pour les régions dont semble présager l’avant-projet, renforce encore cette perception insatisfaisante que l’on peut avoir de la prochaine loi.

Comme toutes les lois sur la décentralisation, la prochaine ne répondra certainement pas aux attentes démocratiques existant en Bretagne. L’inaction et le double discours d’élus du PSf en Bretagne est pour partie l’origine de la déception que provoquera la future loi. Si petite soit l’avancée, nous n’obtiendrons des compétences significatives pour la Bretagne, qu’en inscrivant le destin national du peuple breton dans notre action et en mettant en pratique notre droit à l’autodétermination, jusque dans les collectivités. L’Etat français ne fera un pas dans le sens d’un pouvoir politique et démocratique pour une Bretagne réunifiée, que s’il perçoit, qu’elle lui échappe.

J.G., pour Breizhistance

La Gauche Indépendantiste Bretonne ( Breizhistance) tient à féliciter ceux qui ont contribués au succès de la manifestation du 15 décembre à MORLAIX en faveur d’une Bretagne unie dotée d’un parlement breton organisée par le collectif 44 = Breizh et Bretagne Réunie.

Près de 1500 personnes y ont pris part à cette journée revendicative dans la circonscription d’origine de la ministre en charge de la décentralisation Marylise Lebranchu , malgré un temps de préparation court et une méteo des plus défavaroble.

 

Depuis le début, cette mobilisation a été portée à bout de bras par nos militants.

Car nous étions et nous sommes sans illusion sur la volonté des élus locaux membres de la majorité présidentielle d’aller vers la construction d’un pouvoir politique local.

Nous remercions les organisateurs d’avoir franchi un pas qualitatif en indiquant dans leur appel vouloir obtenir «  une nouvelle organisation démocratique garante d’un parlementarisme local et de l’équilibre des territoires. »  en Bretagne.  Ce qui semble avoir échappé totalement à la presse en amont et après cette mobilisation.

Voilà enfin une manifestation réclamant pour les bretons l’exercice du droit à l’autodétermination nationale premier pas vers l’indépendance.

Cette initiative redonne la parole à la société civile bretonne alors que la vaste  majorité des élus de Bretagne viennent de faire la preuve de leurs manque d’ambition pour notre nation en ne saisissant pas l’occasion du projet de loi sur la décentralisation pour faire progresser l’idée d’un pouvoir politique breton. Ce que nous avons, pour rappel,  initié il y a tout juste un an avec le collectif 44=Breizh par une campagne réclamant un parlement breton garant d’un pouvoir véritable pour la Bretagne. Depuis un an, des rassemblements sont organisés devant le Conseil régional de Bretagne à chaque session plénière sur cette base revendicative.

D’autres étaient présents à Morlaix comme par exemple (pardon à ceux et celles que nous aurions oublier de citer) :

Lena Louarn ( Vice- présidente de la Région Bretagne en charge de la langue bretonne), Phillipe Guillemot conseiller MBP de Spezed, Christian Troadec conseiller général MBP du Finistère et maire de Karaez, Daniel Cotten adjoint aux finances de cette commune, Glenn Jegou conseiller municipal de Rennes, Pierre Morvan de Paimpol (UDB), Naig le Gars et Kristian Guyonvarc’h , Mona Bras (élus UDB à la région) , Lionel Henry (conseiller municipal de Montreuil le Gast ), Paul Molac ( député EELV /UDB ) , Yannick Bigouin (conseiller régional EELV), Primael Petit, conseiller municipal de la gauche indépendantiste à St Herblain étant quant à lui excusé . Bravo à tous ces élus pour s’être associé  à cette mobilisation très clairement initiée par la gauche indépendantiste n’en déplaise a la majorité des médias qui nous ont superbement ignorés malgré notre visibilité.

De très nombreuses structures associatives notamment investies sur le terrain de la réappropriation linguistique (Diwan, Ai’ta, Skol Vreizh, KLT, Skeudenn Bro Roazhon, Kevre Breizh….) étaient également présentes. Tout comme les opposants à l’aéroport  de Notre-Dame des-Landes bien visibles dans le cortège ainsi que le PB et le NPA.

Cette capacité à rassembler et à porter des revendications  claires et décomplexées est porteuse d’espoirs car elle ouvre des perspectives allant au delà  de la réformette parisienne relative à la décentralisation dont nous n’attendons rien , pour notre part nous sommes disposés à participer à la construction d’un vaste mouvement populaire en faveur d’un parlement breton nous permettant de prendre nos affaires en main en tant que peuple de Brest à Clisson.

La Gauche Indépendantiste.

Eus Montroulez betek Klison : ur parlamant evit ar vretoned !

An tu kleiz dizalc’hour (Breizhistance) a gas gourc’hemennoù d’ar re o deus lakaet ar vanifestateg aozet gant 44=Breizh ha Bretagne Réunie d’ar 15 a viz Kerzu e Montroulez d’ober berzh evit ma vo ur parlamant evit Breizh  unvan.

Tost da 1500 den o deus kemeret perzh enni daoust d’ur verr a brantad brientiñ ha d’un amzer fall a-walc’h.

Abaoe ar penn-kentañ eo bet douget an darvoud-se gant hor stourmerien.

Ne oamp ket  hag e ne vimp  ket o c‘hortoz tra ebet a-berzh dilennidi ar vro a embann bezañ tost eus galloud Pariz ken splann eo ne reont mann ebet evit sevel ur galloud politikel breizhad.

Trugarekaat a reomp an aozerien evit bezañ lakaet splann azgoulenn ar galloud politikel lec’hel en o  c’halv da gaout “un aozadur demokratel nevez gwarant eus ur parlamantouriezh lec’hel a zoujo eus kempouez an tiriadoù.” e Breizh. Pezh n’eo ket bet meneget e mod ebet gant ar mediaoù nag a-raok na goude ar vanifestadeg.


Sed aze ur vanifestadeg a c’houlenn ar gwir d’en em dermeniñ evit ar vretoned, pazenn kentañ war-zu an dizalc’houriezh.

An intrudu-mañ a ro ar gaoz d’ar gevredigezh keodel breton pa laka izel o fal lod vrasañ dilennedi Breizh evit hor bro o chom hep kemer digarez ebet eus raktres lezenn an digreizennañ evit lakaat mennozh ur galloud politikel breton da vont war-raok.Pezh hon eus boulc’het bloaz zo, gant 44=Breizh, en ur lansañ ur c’houlzad kabaliñ evit ma vo ur parlamant a roio ur gwir galloud evit Breizh.Tolpadegoù a vez aozet dibaoe dirak kuzul Rannvro Breizh evit pep estez a-stroll.

Dilennedi all a oa e Montroulez evel (hor digarez evit ar re hor bije disoñjet da vennegiñ):
Lena Louarn ( Bez-brezidantez Rannvro Breizh e-karg eus ar brezhoneg), Phillipe Guillemot kuzulier-kêr MBP Speied, Christian Troadec kuzulier departamant MBP Penn-ar-Bed ha maer de Karaez, Daniel Cotten eiler e-karg eus an arc’hant e Karaez , Glenn Jegou kuzulier-kêr e Roazhon, Pierre Morvan kuzulier-kêr e Pempoull (UDB), Naig le Gars, Kristian Guyonvarc’h , Mona Bras (dilennedi UDB e Rannvro Breizh) , Lionel Henry (kuzulier-kêr e Mousterel ar Gwast ), Paul Molac ( kannad EELV /UDB ) , Yannick Bigouin (kuzulier EELV e Rannvro Breizh), Primael Petit, kuzulier-kêr an tu-kleiz dizalc’hour e Sant-Ervlan a oa eñ digarezet.Gourc’hemennoù d’an holl dilennedi-mañ da vezañ kemeret perzh en dibunadeg-se kaset a-benn diwar atiz  dizalc’hourien an tu kleiz. Pezh n’eo ket deuet war wel er mediaoù a zo chomet hep ober menneg deuzousomp daoust d’an niver uhel a stourmerien eus an tu-kleiz dizalc’hour o deus kemeret perzh e manif Montroulez, aes e oa en gwelet.

Ur bern kevredigezhioù a stourm evit dazont ar brezhoneg (Diwan, Ai’ta, Skol Vreizh, KLT, Skeudenn Bro Roazhon, Kevre Breizh…),stourmerien a-enep aerborzh Kernitron-al-Lann, Strollad Breizh hag an NPA a oa ivez war al lec’h.

Ar varregezh da vodañ ha dougañ azgoulennoù sklaer zo frealzus rak e tigor un dazont az a pelloc’h evit adreizhig parizian an digreizennañ na c’hortozomp mann bet deuzouti.
Prest omp da gemer perzh da sevel un emsav poblek ledan evit ma vleunio ur parlamant e Breizh a roio deomp ar galloud da zivizout diwar-benn hon aferioù evel pobl eus Brest betek Klison.

An tu-kleiz dizalc’hour

Le 15 décembre 2012, Bretagne Réunie et 44=Breizh appellent à une manifestation «Démocratie et Réunification pour la Bretagne», à Morlaix. Celle-ci se déroulera dans le cadre de la prochaine réforme sur la décentralisation présentée dans les prochains mois par la ministre Marylise Le Branchu, élue de la circonscription de Morlaix.

Breizhistance se joint à cette manifestation et appelle le plus grand nombre à y participer. Lors de la manifestation «Bretagne en résistance» en faveur de la Réunification, le 18 juin 2011 à Nantes, la Gauche Indépendantiste Bretonne avait contribué à faire émerger un pôle anticapitaliste unitaire prenant en compte la question des droits démocratiques du peuple breton. Nous invitons les organisations s’étant retrouvé autour de cet appel pour une Bretagne unie, rebelle et solidaire, et se retrouvant autour de l’appel Démocratie et Réunification pour la Bretagne à se retrouver le 15 décembre 2012 à Morlaix.