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Dre ar bed holl ne zihan ket morioù a dud da ziskenn er straedoù evit ma paouezo stad Israel da vonbezenniñ poblañs Gaza.

E Breizh evel e kalz a vroioù all ez eus bet aozet manifestadegoù liesseurt en deizioù tremenet evit embann kengred ar vretoned gant pobl Palestina en he stourm a zieubidigezh vroadel.

Kement mañ zo bet gwir e Kemper, Brest, Naoned, Roazhon, Sant Maloù…

Manifestadegoù all a vo dalc’het ar sizhun mañ , galvet oc’h da vont niverus gant ho pannieloù !

E Roazhon d’ar merc’her 16 a viz Gouere da 6e noz dirak an ti-kêr.

E Gwened  d’ar merc’her 16  da 7e noz ha d’ar sadorn 19 a viz Gouere  da 3e goude merenn war ar porzh mor.

 E Montroulez d’ar merc’her 16 a viz Gouere dirak an ti-kêr da 6e noz.

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Dans le cadre de la journée internationale de solidarité avec les prisonniers politiques le 17 avril, la gauche indépendantiste (Breizhistance IS) organise un rassemblement devant le consulat américain à 19h pour exiger la libération de George Ibrahim Abdallah ainsi que celle de tous les prisonniers politiques.

George Ibrahim Abdallah a « fêté » il y a quelque jours ses 63 ans, dont 30 ans passés dans les geôles françaises. Libérable depuis 15 ans, l’état français refuse de relâché le militant révolutionnaire libanais sous les pressions américaines et israéliennes car il n’a pas renoncé à son engagement communiste anti-impérialiste et anticolonialiste. Cet engagement l’a mené à s’engager aux côté des résistants du FPLP (Front Populaire de Libération de la Palestine) dès 1971 et a participer en 1979 à la création du FARL (Fraction Armée Révolutionnaire Libanaise) dont il dirigea les opérations dans l’état français. Arrêté en 1984 par la DST il fut condamné à la réclusion à perpétuité et maintenu en détention depuis, chaque demande de libération échouant face au véto américain. A ce sujet la DST a déclaré en 2007 « Personnalité emblématique de la lutte antisioniste, la libération de Georges Abdallah constituerait sans nul doute, au Liban, un événement. Il sera probablement fêté comme un héros à son retour dans son pays, mais aussi par différentes mouvances engagées dans la lutte révolutionnaire ». Mais le cas de George Ibrahim Abdallah n’est pas isolé. Dans l’état français comme dans les autres pays impérialistes, la répression est de plus en plus forte à l’encontre des masses populaires. Toujours plus de militants corses, basques, bretons, français, kurdes, turcs … sont envoyés en prison et la situation des prisonniers politiques se dégradent : dispersion, isolement, éloignement, aggravation des conditions de vie, élargissement de peines infligées … cherchant à anéantir nos camarades en tant que personnes et militants politiques. Leurs libération dépend de notre mobilisation et de notre capacité à fédérer la solidarité internationale pour les prisonniers politiques révolutionnaires. Voila pourquoi la Gauche indépendantiste appelle l’ensemble des organisations et militants progressistes à se rassembler devant le Consulat américain le 17 avril à 19h pour exiger la libération de tous les prisonniers politiques.

«Ensemble, Camarades, nous vaincrons, et ce n’est qu’ensemble que nous vaincrons». (G.I. Abdallah)

Pour en savoir plus : LIBERONS GEORGES

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Alors que de très nombreuses organisations s’apprêtent à manifester à Lannemezan (Occitanie) devant la prison où est incarcéré Georges Ibrahim Abdallah et ce le samedi 26 octobre prochain, plusieurs organisations politiques et syndicales de Bretagne vous proposent plusieurs rendez vous de solidarité.

-Rassemblement place de la Petite Hollande à 10h30 (Nantes) arrêt T1 Médiathèque
- Participation à la manifestation antifasciste à St-Aubin du Cormier (35)
- Projection-débat d’une interview d’Ahmad Saadat, secrétaire général du FPLP, bar le 1675 (Rennes), 19h

Nous reproduisons ci-dessous le texte parut sur le site de l‘Organisation Communiste Marxiste Léniniste Voie Prolétarienne annonçant les mobilisations de Nantes et Rennes ce même jour.

Georges Ibrahim Abdallah, militant communiste libanais âgé de 62 ans, arrêté à Lyon en 1984, a été condamné à la réclusion à perpétuité pour des actions revendiquées par les Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises (FARL). Il entrera le 24 octobre 2013 dans sa 30ème année de détention.
C’est un résistant qui a combattu l’invasion israélienne du Liban en 1978. Il a combattu, notamment comme membre du Front Populaire de Libération de la Palestine, contre l’occupation de la Palestine.
Il a terminé sa peine de sûreté depuis 1999. Son maintien en captivité est un choix politique de l’État français appuyé par Israël et les États-Unis. A ce sujet, la DST (service secret français) a déclaré en 2007 : « Personnalité emblématique de la lutte antisioniste, la libération de Georges Abdallah constituerait sans nul doute, au Liban, un évènement. Il sera probablement fêté comme un héros à son retour dans son pays, mais aussi par différentes mouvances engagées dans la lutte révolutionnaire ».
Le rejet de sa huitième demande de libération conditionnelle en avril 2013, après de nombreuses manoeuvres politico-judiciaires, montre bien la volonté de ne pas le libérer. Ce qui lui vaut cet acharnement, c’est de rester un militant anti-impérialiste et pro-palestinien implacable et de n’avoir jamais renié ses opinions.
Au Liban, dans le Monde arabe, mais aussi en Europe et dans le reste du monde, la lutte pour sa libération s’amplifie. Car seule une forte mobilisation populaire fera sortir Georges Abdallah de prison.
L’appareil judiciaire aux ordres des intérêts impérialistes de la France s’acharne contre un militant exemplaire pour la la libération de la Palestine, la solidarité internationale et le combat communiste. Cet acharnement contre le plus vieux prisonnier politique sur le territoire se poursuit malgré tous les changements de gouvernement, de droite comme de gauche. Alors que l’impérialisme français redouble d’agressivité et porte la guerre en Afrique comme au Moyen-Orient, l’État emploie tous les moyens pour réprimer la résistance à sa politique de pillage, d’exploitation et de destruction.
Le 26 octobre est organisée une journée combative pour arracher la libération de notre camarade. Une manifestation centrale a lieu à 14h à Lannemezan (65), devant la prison où il est enfermé.

A Rennes et Nantes, des militants participent à cette campagne de soutien. Ils te proposent également de te joindre à la manifestation antifasciste contre la venue de Marine Le Pen : pour crier STOP à toute la politique raciste, anti-ouvrière et nationaliste, qu’elle soit portée par le FN ou les partis « démocratiques » au sommet de l’Etat – pour affirmer pas de frontières entre exploité-e-s ! luttons pied à pied contre les capitalistes, les divisions racistes et ceux qui voudraient nous réduire au silence !
Comme le proclame Georges : « Ensemble, camarades, nous vaincrons et ce n’est qu’ensemble que nous vaincrons ».
Rejoins-nous le samedi 26 octobre, prends contact pour faire connaître
ces initiatives et organiser le covoiturage !

Rassemblement place de la Petite Hollande à 10h30 (Nantes) arrêt T1 Médiathèque
- Participation à la manifestation antifasciste à St-Aubin du Cormier (35)
- Projection-débat d’une interview d’Ahmad Saadat, secrétaire général du FPLP, bar le 1675 (Rennes), 19h

-Libérons Georges Ibrahim Abdallah !
Contre la classe capitaliste, les impérialistes, les sionistes et leur guerre, vive la solidarité internationale des exploités !

Pour en savoir plus sur les initiatives de solidarité : Libérons Georges.

Comité Libérez Georges – Nantes Contact : liberezgeorges@gmail.com
Dont sont membres : Génération Palestine, OCML-Voie Prolétarienne, Gauche Indépendantiste (Breizhistance) , Sud Etudiants, AFA, Alternative Libertaire,Front Anticapitaliste 44, les Alternatifs…