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Un daou-ugent den bennak a oa bodet evit skoazell Jonathan Guillaume, mouezh-aotreet Breizhistance, ha Josselin Liotard, ur stourmer eus Breizhistance eñ-ivez, pa oant galvet dirak lez-varn galv Roazhon da c’houde ur prosez kentañ bet d’ar 16 a viz Even 2010. Tamallet e oa dezho, hep prouenn, bezañ bet skrivet «44=BZH» gant ur bombezenn livaj ouzh ur panell Broioù al Liger e Nozieg.

Goude bezañ difennet an doare-mañ d’ober ha lâret ne oant ket kablus ar wezh-mañ o deus freuzet lodennadur melestradurel Breizh dirak ar parked, dezhañ perzhioù enep-demokratel. Evit gwir, evel m’en embanne Sarkozy e Josilin ar sizhun dremenet, na dileuridi ar strollegezhioù, na re ar Stad n’o deus c’hoant diskoulmañ kudenn lodennadur Breizh.

Ar pep souezhusañ ha direishañ er prosez-mañ zo bet ar gunujenn n’eus lâret ar barner Pierre Dillange ouzh ar brezhoneg, p’en deus digouviet Gael Roblin, den-test an enkablidi, a oa kroget da gomz e brezhoneg : «Echu eo gant ho testeni, n’on ket evit kompren ho paragouin». Gwir emzalc’h ul lez-varn trevadennel ! Pa vez kelennet ar brezhoneg eus ar skol-vamm d’an doktorelezh e Roazhon, pa vez kelaouennoù hag embannadurioù e brezhoneg, n’haller ket gouzañv seurt doareoù hag ar fed ne vije ket anavezet bezañs hor yezh. Kalz a gannaded gall a vroueza ruz rak an disparzhioù el lezioù-barn turkat diwar-goust ar Gurded. Emaomp o c’hortoz un ersav a-seurt-se evit ar brezhoneg.

M’emañ kont ar c’hiz-se, ha dreist d’ar skoazell ar roomp da Jonathan ha Josselin, e galvomp d’en em vodañ d’ar Merc’her 13 a viz Ebrel, deiziad an diviz, a-benn ober eus an devezh-se un devezh oberennoù da dalañ ouzh lavaroù kunujus ar velestradurezh justis gall ouzh ar brezhoneg.

Holl a-gevret dirak ar Parlamant d’an 13 a viz Ebrel evit difenn hor yezh !


Une quarantaine de personnes se sont rassemblées pour soutenir Jonathan Guillaume, porte parole de Breizhistance, et Josselin Liotard, lui aussi militant de Breizhistance, qui passaient en appel de leur procès du 16 juin 2010. Accusés sans preuves réellement tangibles d’avoir inscrit un «44=BZH» à la bombe de peinture sur un panneau Pays de la Loire à Nozay.

Après avoir défendu ce mode d’action tout en remettant en cause leur implication dans cette action précise, ceux-ci ont dénoncé devant le parquet le caractère anti-démocratique de la partition administrative de la Bretagne. En effet ni les représentants des collectivités, ni l’Etat, comme le rappelait la semaine dernière Nicolas Sarkozy à Josselin, ne souhaitent avancer sur la résolution de la partition de la Bretagne.

Le plus surprenant et révoltant dans ce procès aura sans doute été le caractère injurieux des propos du juge Pierre Dillange renvoyant le témoin des prévenus, Gael Roblin, s’exprimant en breton par un « votre déposition s’arrête là, je n’entends point votre baragoin ». Une attitude digne d’un tribunal colonial ! Alors que le Breton est enseigné de la maternelle au doctorat à Rennes, que de nombreuses revues et publications en breton sont éditées chaque jour en Bretagne, ne pas reconnaître l’existence propre de cette langue et la traiter de cette manière n’est pas tolérable. De nombreux élus dans l’Hexagone s’offusquent légitimement des discriminations des tribunaux turcs à l’encontre des kurdophones, nous attendons qu’ils fassent de même dans cette affaire.

Dans ces conditions, et au delà du soutien évident à Jonathan et Josselin, nous appelons à faire du mercredi 13 avril, date du délibéré, une journée d’action et de mobilisation contre les propos injurieux de l’administartion judiciaire française à l’encontre de la langue bretonne.

Tous ensemble devant le Parlement le 13 avril pour défendre notre langue !

Ur « baragouin » zo eus ar brezhoneg hervez ar barner Pierre Dillange

Un daou-ugent den bennak a oa bodet evit skoazell Jonathan Guillaume, mouezh-aotreet Breizhistance, ha Josselin Liotard, ur stourmer eus Breizhistance eñ-ivez, pa oant galvet dirak lez-varn galv Roazhon da c’houde ur prosez kentañ bet d’ar 16 a viz Even 2010. Tamallet e oa dezho, hep prouenn, bezañ bet skrivet «44=BZH» gant ur bombezenn livaj ouzh ur panell Broioù al Liger e Nozieg.

Goude bezañ difennet an doare-mañ d’ober ha lâret ne oant ket kablus ar wezh-mañ o deus freuzet lodennadur melestradurel Breizh dirak ar parked, dezhañ perzhioù enep-demokratel. Evit gwir, evel m’en embanne Sarkozy e Josilin ar sizhun dremenet, na dileuridi ar strollegezhioù, na re ar Stad n’o deus c’hoant diskoulmañ kudenn lodennadur Breizh.

Ar pep souezhusañ ha direishañ er prosez-mañ zo bet ar gunujenn n’eus lâret ar barner Pierre Dillange ouzh ar brezhoneg, p’en deus digouviet Gael Roblin, den-test an enkablidi, a oa kroget da gomz e brezhoneg : «Echu eo gant ho testeni, n’on ket evit kompren ho paragouin». Gwir emzalc’h ul lez-varn trevadennel ! Pa vez kelennet ar brezhoneg eus ar skol-vamm d’an doktorelezh e Roazhon, pa vez kelaouennoù hag embannadurioù e brezhoneg, n’haller ket gouzañv seurt doareoù hag ar fed ne vije ket anavezet bezañs hor yezh. Kalz a gannaded gall a vroueza ruz rak an disparzhioù el lezioù-barn turkat diwar-goust ar Gurded. Emaomp o c’hortoz un ersav a-seurt-se evit ar brezhoneg.

M’emañ kont ar c’hiz-se, ha dreist d’ar skoazell ar roomp da Jonathan ha Josselin, e galvomp d’en em vodañ d’ar Merc’her 13 a viz Ebrel, deiziad an diviz, a-benn ober eus an devezh-se un devezh oberennoù da dalañ ouzh lavaroù kunujus ar velestradurezh justis gall ouzh ar brezhoneg.

Holl a-gevret dirak ar Parlamant d’an 13 a viz Ebrel evit difenn hor yezh !

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D’AN 18 A VIZ MEURZH, SAL AR CITE e ROAZHON

LE 18 MARS, SALLE DE LA CITE à RENNES

Aozet gant Breizhistance.
Deuit da gejiñ ganeomp, da zañsal, da riboulat ! Deuit niverus tudoù !
Startijenn, Digresk, John le Barzhek (souezhadenn !!!), Duos Lebreton/Le Bozec ha Girard/Le Bozec
a vo war al leurenn etre 8e hag 1e.
Prezegenn Breizhistance adalek 7e30.
Dorioù digor adalek 7e.
6 euros.

Boued war al lec’h

Organisé par Breizhistance.
Venez nous rencontrer, danser et faire la fête ! Venez nombreux !
Startijenn, Digresk, John le Barzhek (surprise !!!), Duos Lebreton/Le Bozec ha Girard/Le Bozec
sur scène à partir de 20H.
Intervention Breizhistance à partir de 19h30.
Ouverture des portes à 19h.
6 euros.
Restauration sur place.

Nous avons appris que la maison de la grève (créée suite à la mobilisation contre la réforme des retraites) a été expulsée par les forces de police sur demande de la mairie socialiste ce matin à 6 heures. Les prétendus socialistes et leurs alliés UDB PC PRG qui disent avoir suppliés les occupants de quitter ce lieu ont agit en vérité comme de véritables élus de la droite la plus extrême.

A aucun moment elle n’a tenté de dialoguer avec les occupants et l’assemblée générale interprofessionnelle qui désirait poursuivre le mouvement de lutte contre la réforme des retraites. Elle préfère jeter à la rue par grand froid des militants politiques, dont certains ont été frappés et emmenés au commissariat….disons le franchement l’ex préfète Malgorn n’aurait pas fait mieux ! Par ce que nous en avons marre de voir notre ville livrer aux spéculateurs, aux hôteliers de luxe aux multinationales par des gens qui salissent les idéaux de gauche en répondant par la répression à ceux qui ont construit dans l’ouverture un projet collectif s’inscrivant dans la tradition des bourses du travail, nous invitons chacun et chacune à participer au rassemblement de solidarité avec la maison de la grève à 17 heures place de la mairie ce soir, ainsi qu’aux éventuelles autres initiatives de solidarité.

ROAZHON/RENNES le 02 décembre 2010, rassemblement devant la mairie 17h !

Pour BREIZHISTANCE – Indépendance et Socialisme,

Gael Roblin

Ci-suit : Communiqué de l’assemblée générale interprofessionnelle de Rennes

Ce matin à six heures un imposant dispositif policier (gendarmerie mobile, police nationale, GIPN…) s’est déployé rue de la Barbotière. La police est entrée par effraction dans la Maison de la Grève où une dizaine de personne passait la nuit, elles devaient passer le reste de la matinée au commissariat. Dans la précipitation, une quarantaine de membres de la Maison de la Grève se sont rassemblés devant le lieu. Ils n’ont pu que constater les faits. Les forces de l’ordre avaient déjà embarqué nos camarades tout en nous empêchant de récupérer le matériel et nos effets personnels. A l’heure qu’il est, sous la neige, la Ville de Rennes fait murer ce lieu qui nous réunissait à plusieurs centaines tous les jours.

La Maison de la Grève avait été ouverte fin octobre, dans le cadre du mouvement social et à l’initiative de l’Assemblée Générale Interprofessionnelle (AGI). Depuis un mois, s’y organisaient une cantine (au moins 70 couverts quatre fois par semaine), plusieurs ateliers (vélo, informatique, sérigraphie…), de nombreux concerts, des permanences d’organisations (MCPL, Sud Rail…), des discussions, des actions… Ce sont des centaines de personnes de tous âges, de tous horizons, qui tout au long de ce mois ont fait vivre une autre idée de la grève, et qui se retrouvent aujourd’hui spoliées de leur capacité d’organisation. Précisons que de nombreuses demandes avaient été faites auprès de la Mairie pour qu’elle clarifie sa position et que nous puissions entamer un dialogue en vue de pérenniser l’existence de ce lieu. Contre toute attente, celle-ci a préféré nous opposer un projet ad hoc d’accueil des plus démunis, sans hésiter, pour le mener à bien, à nous chasser dans le froid et la neige. Encore une fois le mépris, la violence et l’abus d’autorité sont les seules réponses d’une majorité prétendument de gauche, qui soutenait la mobilisation contre la réforme des retraites, et qui préfère pourtant tuer toute forme d’initiative politique qui n’abonde pas dans sons sens.

Qu’adviendra-t-il de la Caisse de Grève (1500 euros), restée sur place, de la vingtaine de vélos en réparation de l’atelier vélo, du matériel informatique, de bricolage, de cantine… ? C’est bien à plusieurs milliers d’euros que s’évaluent les dommages matériels et le préjudice financier de cette opération scélérate menée contre la Maison de la Grève. Cette attaque ne restera pas sans réponse.

Forts de nos nombreux soutiens (syndicats, associations, collectifs, partis politiques, institutions culturelles…) nous appelons à un rassemblement ce soir à 17 heures place de la Mairie pour faire part de notre colère et exiger une réponse immédiate.

Venez tous et toutes.          La Maison de la Grève vivra.         contact : agi-rennes@riseup.net

Emañ posubldedoù lakaat ar stad da blegañ o vont war-raok, evit pezh a sell adreizhad al leveoù. Kemmennadennoù harz-labour da genderc’hel zo bet e meur a lec’h (SNCF, Total pe c’hoarzh er porzhioù), peadra da soñjal en un harz-labour hollek hepken, da c’hellout lemel an adreizhad kuit. A-drugarez d’ar spi-se emeur deuet a-benn da dizhout kement a dud e manifestadeg dimeurzh tremenet, muioc’h zoken ‘vit ar bodadegoù kent. En tu-hont da-se ez eus bet lakaet obererezhioù-stankañ e pleustr, e Roazhon da skouer, m’eo bet stourmerien an tu kleiz-dizalc’her o harpañ hardizh ar bikerien arsav-labour e dibenn ar vanifestadeg. Emañ ar yaouankizoù o paouez kadarnaat o flas hag o c’hemer perzh er stourm hirie, o votiñ ar blokus e-kerzh Emvod-Meur ar studierien e Roazhon 2. Obererezhioù stankañ hag ingalañ traktoù da c’hervel d’an harz-labour zo bet nouspet gwech, ha nouspet all zo raktreset ac’hann da zisadorn. Derc’hel penn zo d’ober eta, derc’hel da roeñvañ war an hevelep tu, hag ober ma vo manifestadeg disadorn ur pezh tra, gant ar soñj evel-just mont war-zu un harz-labour kalet evit an devezhioù da zont.

Bezomp holl er straedoù d’ar Sadorn 16 a viz Here evit ma vo skarzhet an adreizhad !

Aujourd’hui les militants rennais de BREIZHISTANCE-PSB se sont rendus au local de l’UMP à Rennes, pour rappeler au conseiller régional et candidat De Legge que la lutte pour l’unité territoriale de la Bretagne dépassait l’effet d’annonce purement électoraliste. En effet il y a quelques jours le sénateur De Legge déposait une proposition d’amendement au Sénat présentée par l’UMP comme rendant désormais possible la Réunification de la Bretagne. Lire la position de BREIZHISTANCE-PSB ci joint :  http://www.breizhistance.tv/2010/02/07/que-de-leggeule/

Encore une fois l’UMP a voulu tromper les militants de la Réunification avec un amendement qui empêche l’expression démocratique du peuple Breton sur la question. Plutôt que d’attendre d’éventuels actes des élus PSF ou UMP en faveur de la Réunification, nous considérons aujourd’hui que c’est par la mobilisation et la pression de la société civile en Bretagne que nous construirons l’unité territoriale. C’est ce que nous sommes venu faire entendre devant le local de l’UMP en appelant à participer à la fresque humaine organisée par BRETAGNE Réunie et 44=BREIZH le samedi 27 février à Nantes.

affichefresquehumaineweb