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La Gauche Indépendantiste Bretonne (War-Sav) manifestera samedi à 14h00 aux cotés des écoles Diwan à Saint-Brieuc.

Il est regrettable que la majorité du Conseil Départemental des Côtes-d’Armor n’ai pas intégré que :

  • Par  la loi du 21 mai 2021 relative à la protection patrimoniale des langues régionales et à leur promotion, dite loi « Molac », l’État et les collectivités territoriales (dont le conseil départemental des cotes d’Armor) ont l’obligation de concourir à l’enseignement, la diffusion et la promotion des langues régionales.
  • Le code général des collectivités territoriales précise en son article L1111-4 que « les compétences en matière de culture, de sport, de tourisme, de promotion des langues régionales et d’éducation populaire sont partagées entre les communes, les départements, les régions et les collectivités à statut particulier ».
  • De même, la loi NOTRe stipule que les politiques de soutien aux langues dites régionales relèvent de compétences partagées.

Si ce cadre légal était parfaitement maitrisé par les élus de la majorité départementale, ils se seraient engagés pour un développement serein de Diwan dans l’enseignement secondaire, qui est de la compétence de cette assemblée.

Les bâtiments du collège Diwan de Plésidy sont très abimés. Ce collège seul ne peut absorber tous les élèves Diwan issus du primaire : il faut trouver une solution pour sortir par le haut de cette situation dommageable à tous et donner un avenir à la langue bretonne, en soutenant Diwan et tous son ecosysteme associatif qui oeuvre à la transmission et l’usage de cette langue.

Rendez-vous devant la Gare de Sant-Brieg / Saint-Brieuc à 14h00 !

La Gauche Indépendantiste (War-Sav)

 

D’ar 27 a viz Mae un 50 den bennak deus Gwengamp ha Sant-Brieg a oa en em vodet dirak savadur Ajañs Rannvro ar yec’hed e kêr Sant-Brieg. O fal a o a lakaat war wel youl fall ar ministrerezh e-karg deus ar yec’hed a nac’h embann dre skrid en ur mod ofisiel pegoulz e vo addigoret servij gwilioudiñ ospital Gwengamp.

Dañset e oa bet graet dirak an ARS, pignet gant doenn, dipasket gitonioù, krazet silzig , livet ar mogerioù , peget skritelloù …Bep sizhun abaoe ar 24 a viz Mae o deus dalc’het difennourien an ospital publik gant un oberenn stourm bennak. Ur vanifestadeg veur a vo dalc’het d’ar sadorn 17 a viz Even e kêr Gwengamp.

Ma ne gred lavaret ar gouarnamant ne addigoro ket an ti-gwilioudiñ ne seblant ket gouest da dutañ tud da zont da labourat da wengamp…

Bez e c’heller ivez displegadennoù enrollet gant radio Breizh pa oa bet roet ar gaoz da c’hGael Roblin dilennet en ti-kêr.

 

Sed aze an destenn bet distaget e brezhoneg gant Maiwenn Salomon evit displegañ abegoù fulor tud Gwengamp :

Hiziv an deiz n’haller ket gwilioudiñ e ospital Gwengamp abalamour d’un astal .

Goulenn groñs a reomp ur skrid frank ha splann a-berzh ministrerezh ar yec’hed a rofe deomp un deiziad da adkregiñ gant ar servij gwilioudiñ evit mont war-du ur mont endro stabilh.

Ur mad boutin d’an holl eo an ospital publik.

Takad Gwengamp hag an annezidi o deus ar gwir da gaout un ospital dre wir leun gant ur servij gwilioudiñ, ur servij o plediñ gant gourezhommoù  , ur servij surjianerezh boutin.

Ar gwir d’ar yec’hed evit maouezed ha gwazed zo ur gwir a ranker doujañ diontañ e bro Gwengamp evel e lec’h all.

Evit ar gwir da c’henel, da vezañ heuliet gant servij publik ar yec’hed e takad Gwengamp emaomp amañ hiziv evit astalañ en ur mod arouezus Ajañs Rannvro ar Yec’hed  hag e dibaboù nul ha noazus.

Difennomp an ospital publik e pep lec’h e Breizh ! Deuit holl da wengamp d’ar 17 a viz Even da 10e30 !    

 

Plusieurs organisations politiques de gauche impliquées dans les luttes pour la défense du système de santé publique et la défense des hopitaux menacés à Guingamp , Carhaix, Landerneau appellent conjointement à se joindre à la manif du 17 juin à Guingamp contre les fermetures de services d’urgences, de maternité, de chirurgies.

Elles font aussi cause commune pour dire ensemble que l’idée de déployer des médecins et soignants cubains en Bretagne est une option à étudier de prés. Un conseiller municipal de Guingamp avait déja obtenu un engagement positif de l’ambassade de Cuba. Une idée mise en pratique ailleurs en Europe notamment en Calabre.  

Et qui semble faire son chemin comme alternative concrète à la situation qui pourrait perdurer à Guingamp et ailleurs…

Les organisations signataires s’associent aux mobilisations en cours en vue notamment de la manifestation du 17 juin à Guingamp pour la défense de l’hôpital public, l’égalité d’accès aux soins et contre les nombreuses fermetures de services hospitaliers en Bretagne.

Nous exigeons de concert avec les organisations syndicales et les collectifs de défense une politique de recrutement adéquat pour répondre aux problèmes d’effectifs de personnels et des engagements écrits clairs du ministre de la santé pour le maintien de l’offre de soins à Guingamp, Carhaix et ailleurs.

Par ailleurs nous trouvons pertinente l’idée d’un renfort momentané de personnel médical Cubain comme cela se fait ailleurs en Europe en ce moment grâce à la générosité du gouvernement de Cuba et à sa politique sanitaire solidaire dont nul ne conteste l’efficacité.

C’est pourquoi nous demandons au gouvernement français de signer immédiatement un décret permettant le déploiement de personnel médical de Cuba en Bretagne comme cela avait été fait lors de la pandémie de Covid en Guadeloupe et Martinique.

Cet apport salutaire empêcherait concrètement des fermetures de services dont le maintien semble crucial à tous et toutes celles et ceux qui ont pour souci l’accès au service public de santé partout y compris dans les territoires ruraux.

Signataires : Gauche Indépendantiste Bretonne ( War-Sav )  PCF Section de   Guingamp et  Fédération PCF 29, MJCF 22  ( Mouvement des Jeunes Communistes  des Côtes d’Armor ) ,  Comités NPA ( Nouveau parti Anticapitaliste ) de Brest et Guingamp-Lannion-Paimpol.

 

 

Le texte de l’appel de la Coordination :

Quelques jours après l’annonce par le gouvernement de l’extension de la possibilité de surtaxer les résidences dans 5000 communes ( dont nous ignorons la liste à ce jour ) le comité pour le logement de Morlaix a battu le pavé pour rappeler l’exigence de l’application de l’intégralité du dispositif Zone tendue dans l’ensemble de la Bretagne.

C’est à dire : la surtaxation des résidences secondaires, l’encadrement des loyers, et la limitation de la location de courte durée. Mais les participants ont aussi rappelé leurs exigences d’une relance du logement public et d’une éradication des 63 000 logement indignes recensés en région Bretagne.

“Des logements pour les gens pas pour se faire de l’argent” ! “Vue sur mer pour les précaires” !

Un peu plus de 300 personnes emmenées par une tête de cortège dynamique, jeune, bruyante ont animés les rues de Morlaix un week-end de vacances. En dessous de certains pronostics mais honorable et intéressant pour l’avenir du mouvement pour le logement en Bretagne. Un nombre très important de syndicalistes notamment de la CFDT et de la CGT ( sans oublier les militants de Solidaires et de la CNT ), des élus ( PCF, UDB, EELV, Gauche Indépendantiste…) étaient de la partie , dont une bonne partie étaient resté sur le bord des précédentes initiatives, sans doute grâce à l’énorme travail de mobilisation locale fait par le comité.

 

L’ensemble des initiatives pour le logement en Bretagne semble s’inscrire dans la durée.

En témoigne le rendez vous du 5 novembre à Lorient sur des bases similaires mais avec en toile de fond la critique d’une projet de logement de standing. Le rendez vous est fixé quai des indes à 14h30. Le même jour à Douarnenez seront dans la rue  devant l’abri du Marin à midi contre un projet immobilier de luxe. 

 

Les organisateurs de la manif de Morlaix donnent rendez vous le 19 novembre à Guingamp avec le comité Tregor Argoat Goelo pour construire avec les comités locaux et assos investis sur le logement un nouveau cadre de mobilisation. Des contacts ont été pris avec les orgas de jeunesses qui font face à la raréfaction du logement pour étudiants à Rennes, Brest, Lorient et Nantes pour faire de journée européenne du logement fin mars une date de mobilisation en Bretagne dont la forme reste à définir. Fin juin la loi de finances rectificative nous permettra de ré-interpeller collectivement les parlementaires. Surtout d’ici là c’est les collectivités locales bretonne qui seront interpellées pour être plus incisives et demander de nouvelles compétences.

 

Nous publions ici l’intégralité de la prise de parole des organisateurs . Nous y soulignons ceci :  l’exigence que la Région Bretagne assume la compétence logement et perçoive une part de la surtaxe sur les résidences secondaires. Un débouché politique spécifiquement breton qui nous semble particulièrement pertinent et est assumé très largement maintenant.

Les militants indépendantiste de gauche investis dans la campagne logement.

 

 

Le comité local pour le logement du pays de Morlaix créée il y a seulement 2 mois se félicite de la réussite de la mobilisation de 29 octobre 2022. Elle vient clôturer un formidable travail unitaire et de terrain de près d’un mois. Nous vous remercions chaleureusement toutes et tous de votre présence. Nous remercions l’ensemble des élus présents : de la municipalité de Morlaix, de communes de Morlaix Communauté, de Haut-Leon Communauté, mais aussi des conseillères et conseillers départementaux, régionaux ou députés. Nous remercions l’ensemble des 26 organisations politiques, syndicales et associatives qui ont répondu favorablement à notre appel : PCF, Génération.s, Gauche Indépendantiste, NPA, France Insoumise, UDB, EELV, PS, Ensemble, Parti de Gauche, UCL, CNT, CGT, CFDT, Solidaires, Morlaix Alternative Citoyenne, Droit à la Ville Douarnenez, St-Malo j’y suis j’y reste, Le Utopistes en action, La Lanterne, Comité des chômeurs et solidaires, Ligue des Droits de l’Homme.

 

La réprésentativité de ce jour est à la hauteur des enjeux. Oui nous avons sû créer une dynamique locale alors continuons à construire la mobilisation populaire et transformons l’essai à plus grande échelle.

 

 

Nous réclamons un meilleur accès au logement  dans le pays de Morlaix comme partout en Bretagne, nous avons souligné l’urgence de la situation et mis sur la place publique une proposition : permettre d’utiliser le dispositif de la Zone Tendue – jusqu’ici inappliqué en Région Bretagne – afin d’encadrer les loyers et les locations de courte durée tout en donnant la possibilité aux conseils municipaux de surtaxer les résidences secondaires.

 

A l’occasion de l’adoption de la loi de finances via le 49.3 on apprend que cette exigence d’égalité fiscale pour que comme au Pays Basque et ailleurs nous puissions surtaxer les résidences secondaires  sera peut-être possible dans certaines zones. Sans doute  prise pour calmer les légitimes revendications populaires suite aux manifestations du mois de septembre dernier !

 

Mais faute de débats et d’amendements en séances on ignore où précisément cela sera possible, quels en seront les critères et qui décidera.

 

On sait seulement que cela sera possible en Zone Touristique littorale …Mais nous savons aussi que c’est toute la Bretagne qui devrait être concernée car l’activité économique est tournée vers le tourisme, directement ou indirectement sur tout le territoire.

 

Et malheureusement nous savons que l’encadrement des loyers et de la location type Air BnB ne sera pas à la disposition des communes de Bretagne

 

Nous ne voulons pas qu’une part du gâteau de la Zone Tendue nous voulons tout le gâteau !

 

Parfois les loyers de maisons situées à l’intérieur du territoire bien loin du littoral et des grands centres urbains qui sont des passoires énergétiques chauffés à l’électricité prennent 250 euros entre deux locations ! Ni les salaires, ni les pensions, ni les minimas sociaux n’augmentent hélas à cette vitesse !

L’amendement gardé par le gouvernement ne calme pas notre colère ! Et nous voyons là une forme de mépris de non prise en compte de la colère populaire !

 

Mais qu’attendre de plus d’un gouvernement qui a baissé les aides à la Pierre pour la construction de logements sociaux et baissé les APL ?

 

Nous voulons dire aussi au gouvernement que les 63 000 logements potentiellement indignes et les 145 000 logement vacants en Région Bretagne doivent être rénovés dans le cadre de la relance du logement public ! Car avec l’obligation du Zero Artificialisation Net pour les intercommunalités nous n’auront pas beaucoup d’autres choix !

Pour cela il faut redonner des moyens à la politique de logement public et social !

Mais ceux qui s’intéressent à la question du logement, lequel représente la part de dépenses la plus importante des foyers bretons, savent aussi que les meilleurs dispositifs législatifs sont inopérants faute de service public pour les mettre en pratique sur le terrain.

 

Or un tel service public est bien ce qui fait défaut à de nombreuses collectivités locales. La plupart des communes bretonnes sont dépourvues de service d’hygiène pour lutter contre l’habitat indigne, pas plus qu’elles ne disposent de police de l’habitat pour endiguer le recours frauduleux aux baux mobilités et étudiants, délivrer des permis de louer ou surveiller le respect des règles limitant le recours aux locations touristiques de courte durée (dont on sait combien elles concurrencent les offres de logement à l’année, notamment dans les zones littorales).

Sur les 1 938 500 logements que compte la Région Bretagne, l’INSEE recense aujourd’hui 257 800 résidences secondaires soit 13 % du parc de logements breton. D’après les services fiscaux le montant moyen de taxe d’habitation dans l’hexagone est de 756 euros pour une maison secondaire et de 915 euros pour un appartement secondaire en 2020.

 

Dans un contexte de réduction drastique des marges de manœuvre fiscales des collectivités, le Conseil Régional de Bretagne devrait pouvoir utiliser cette ressource financière substantielle en percevant une part régionale de la taxe sur les résidences secondaires. Et prendre ainsi ses marques pour acquérir la compétence sur le logement, complémentaire de celle sur l’habitat que les intercommunalités exercent déjà.

 

C’est notre proposition !

 

Notre message va en effet aussi en direction des élus de la Région et des collectivités locales de Bretagne ! Soyez plus offensifs , plus exigeant !

 

On ne peut pas se contenter des miettes du dernier amendement ! La loi de finance rectificative sera votée en juillet 2023 nous voulons que vous portiez avec nous cette exigence populaire, cette exigence d’extension de la Zone Tendue à toute la Bretagne ainsi que cette prise de compétences nouvelles !

La loi ouvre désormais la possibilité de développer les expérimentations par les collectivités locales, grâce au principe maintenant reconnu de différenciation territoriale. Communes et agglo doivent étudier les moyens d’expérimenter des dispositifs locaux de plafonnement des loyers le temps que les évolutions législatives nécessaires se produisent et exiger de nouvelles marges de manœuvres !

N’attendez pas pour agir ! Si on additionne les logements vacants et les résidences secondaires de la Bretagne historique on arrive au chiffre vertigineux de 522 800 logements exclus du marché à l’année ! Et encore nous ne sommes pas capables de chiffrer avec nos moyens combien de nuitées Air BNB viennent alourdir ce tableau déjà bien sombre !

 

Il faut répartir les richesses ! il faut agir !

 

Pour notre part nous lançons un appel pour qu’au mois de mars prochain à l’occasion de la journée européenne du droit au logement nous poursuivions notre mobilisation en Bretagne à l’occasion de la fin de la trêve hivernale !

 

 

Nous lançons aussi un appel à créer un outil de mobilisation rénové à l’échelle de la Bretagne donnant toute leur place aux associations et collectifs locaux spécialisés , aux organisations syndicales mais aussi aux structures étudiantes et de la jeunesse. Pour ce fait, nous appelons les comités locaux déjà existant à nous emboîter le pas pour de nouvelles mobilisations et nous proposons une réunion de construction de la lutte pour le logement à Guingamp le 19 novembre.

 

 

D’ar 5 a viz Du deuit da gKallag da lâret nann d’ar faskourien !

Fest-deiz antifa !

Bezomp niverus e Kallag d’ar 5 a viz Du da zerc’hel penn ouzh ar faskouriezh en ur lâret pegen pouezus eo deomp e chomfe digor Breizh, kengred, enepfaskour hag evit ar justis sokial, koulz hag an ingalded evit an holl.

Ha degas a raio un nebeud a repuidi gant an aotre da chom muioc’h a drubuilh evit :

-ar riskl zo da serriñ servijoù yec’hed lec’hel ospitalioù Karaez ha Gwengamp

-ar c’hlasoù serret er skolioù dre ar vro

-an diaesamantoù zo da gavout un ti abalamour da gresk ar prizioù. Ar re binividik eo a laka ar prizioù da greskiñ pa brenont eil tiez. Bretoned eo a laka en feurm tier dirapar hag a implij ar feurmoù berrbad evel AirBnB da c’hounid muioc’h.

-Pe c’hoazh raktresoù bras ha diezhomm evel uzin eoged Plouizi evit brasañ mad embregerezhioù etrebroadel a zistruj an endro.

War an holl sujedoù se, pouezus d’hor bro, an tu-dehoù pellañ a gred embann difenn an terouer hag an dud diwar ar maez na ra ket mann ebet jamez, evel ne ra mann ebet da zifenn ar servijoù publik diskaret gant gouarnamant Macron.

Amañ e Kreiz-Breizh omp niverus o tifenn hor yezh vrezhonek koulz hag ur sevenadur pobl bev. An tu-dehoù pellañ a ra ar c’hontrefed mik a-viskoazh, en ur lâr nann d’ar brezhoneg ofisiel er vuhez bublik en ur mod pemdeziek : ‘peus ken soñjal e komzoù Zemmour diwar-benn an anvioù bihan gallek, Nann Marine Lepen d’ar brezhoneg war ar panneloù hent, emzalc’h negativel Gilles Pennelle evit ma vo implijet ar brezhoneg pe ar gallaoueg er c’huzul-rannvro.

An tu-dehoù pellañ na zegas ket ha na zegaso biken diskoulm ebet da gudennoù pemdeziek tud ar vro. Gwashoc’h c’hoazh, dont a ra amañ da zroukimplij ar raktres Horizons evit abegoù politikour da c’hwezhañ un avel leun a gasoni ha gouennelour, en ur lakaat gwask war an dud e Kallag hag an dilennidi, da spontañ anezhe tout.

N’eo ket ur sav-poent zo difennet gante met ur raktres kevredigezhel : hini ar faskouriezh. Amañ er vro paotred ha merc’hed FTP Kallag ‘oant en em gannet enep gant armou betek reiñ o buhez da lâret nann d’ar faskourien.

Dont a ra endro ar faskourien. An tu-dehoù pellañ a garfe tapout tachenn, graet dija en ensavadurioù, er mediaou, distreiñ a ra er straedoù e-lec’h ma sko alies : arabat lezel anezhe da vleuñvin ha da vezañ kreñvoc’h, war-sav ha stourmomp !

Asambles er ruioù, er vilajennoù, er c’hartieroù koulz ha diwar ar maez, bezomp skoaz- ouzh-skoaz !

12e: Pik-nik (boued a vo war al lec’h)

14h: Fest-deiz, prezegennoù….

Sinerien gentañ: Union Syndicale Solidaires Bretagne, CVA 22, War-sav ! Gauche Indépendantiste, Ensemble! 22, Vigilance Syndicale Antifasciste 29, CGT deskadurezh prevez Breizh ,NPA 22 ha 29….

La Gauche Indépendantiste, War-Sav POGI, appelle à se joindre  au rassemblement le jeudi 25 août à 10h30 devant l’Inspection Académique 12 rue du Poulfanc à Morlaix pour l’ouverture de la filière bilingue dès la rentrée à Plougasnou. Après la lutte victorieuse que la communauté attachée à l’enseignement en langue bretonne, a mené l’an dernier pour l’ouverture de la filière bilingue au lycée Tristan Corbière à Morlaix, c’est pour Plougasnou qu’il faut se battre et suivre le chemin de la victoire morlaisienne il y a un an.

Seule la lutte paie ! Assez des attaques répétées des instances de l’Éducation Nationale !

Alors que toutes les conditions sont remplies pour l’ouverture de la filière bilingue publique breton-français sont réunies : nombre d’élèves inscrits, enseignante nommée, ATSEM recrutée, salle aménagée, soutien des élus locaux, l’inspection académique à décidé la veille des vacances d’été de suspendre l’ouverture à 2023.

Cette décision arbitraire est inacceptable et montre une énième attaque contre le développement de l’enseignement en langue bretonne. C’est aux bretonnes et bretons de décider pour que l’enseignement de notre langue soit pérennisé. Pour cela, nous demandons la gestion de la compétence éducation par une institution bretonne de plein exercice.

 

Pevar bloaz zo eo aet diganimp ar c’hamarad Olier Le Clainche, “Kendal Breizh” e anv brezelour. Perzh eus bagadoù ar YPG e oa Kendal Breizh. Lazhet eo bet d’ar 4 a viz C’hwevrer 2018 e Afrin (Siria) gant bombezennoù Erdogan, prezidant Turkia. Evel miliadoù all a vrezelourezed ha vrezelourien etrebroadelour en doa brezelet Kendal Breizh skoaz-ouzh-skoaz gant ar Gurded a-enep da Daesh, a-enep d’ar faskouriezh. Ma ya an etrebroadelourien betek ar Rojava, Kengevredigezh demokratel norzh Siria renet gant ar Gurded eo ivez evit ma vo trec’h an dispac’h er Rojava hag e batrom kevredigezhel emrenour, reizh ha sokial.

Kemeret en deus perzh an tu-kleiz dizalc’hour, War-Sav, d’an droiad gehentiñ aozet e Breizh e fin miz Genver 2022, diwar intrudu stourmerezed etrebroadelour aet da Rojava ha skrivet al levr gante Nous vous écrivons depuis la Révolution

Ul levr kaer da brenañ !

Sed aze un atersadenn e brezhoneg kaset da benn gant Erwan Blanchard, kazetenner Arvorig FM, lec’h ma tispleg Fabris Cadou, stourmer an tu-kleiz dizalc’hour, pouezusted ha palioù ar stourm etrebroadelour. E-pad an atersadenn e klevfed ur ganaouenn gurdek e koun ar verzherien kanet dirak ar freskenn e Karaez a enor Olier Le Clainche.

Bec’h d’ar stourm etrebroadelour ! Bec’h d’an dispac’h er Rojava !

Les adhérent·e·s de la Gauche Indépendantiste bretonne (War-Sav) du Trégor-Goelo prendront part à la mobilisation contre la venue de Jean Messiha et Jacline Mouraud à Saint-Brieuc samedi 12 février.

La venue de ces proches du pétainiste Eric Zemmour doit être l’occasion de rappeler qu’en Bretagne ces idées xénophobes, sexistes, islamophobes, antisémites heurtent la sensibilité de larges secteurs de la population.

Face à l’ultra nationalisme tricolore de la clique à Zemmour occupons la rue en affirmant que la Bretagne est un espace cohérent pour construire des politiques publiques au bénéfice du plus grand nombre, singulièrement des plus modestes y compris des réfugiés qui fuient les guerres et l’impérialisme occidental.

Nous invitons donc à rejoindre les organisateurs et organisatrices du rassemblement antifasciste du samedi 12 février à 16h30 devant la salle Steredenn à SAINT-BRIEUC.

An ali goulennet digant Kuzul ar vonreizh gant tri-ugent kannad perzh deus LREM da heul vot al lezenn diwar-benn ar yezhoù reer rannvroel anezho a addegas da soñj an holl ez eo ar strollad-se ha da gentañ tout JM Blanquer, enebour liesseurted ar yezhoù.

Peogwir n’eo ket bet kadarnaet al lezenn dindan pemzektez gant ar prezidant o deus gellet ar gannaded ober seziz evel ma vije bet raktreset en a-raok.

N’eo ket reizh e 2021 e vefe dibabet dazont ar brezhoneg hag ar yezhoù all, dalc’het penn gante dirak ar Stad-C’hall distrujus e-pad ken pell, diouzh ali ur c’huzul nann dilennet war ur vonreizh votet e 1958.

E Breizh e c’hellomp en em glevet evit treuzkas hor yezh, gellet mestroniañ dre ensavadurioù dizalc’h ur politikerezh yezh adperc’hennañ ledan a ra diouer deomp.

Mat eo deomp bepred mont skoaz-ouzh-skoaz er straed adarre gant an holl vretoned kar-o-yezh evit ma vo doujet d’hor gwirioù broadel.

Dizalc’hourezed ha Dizalchourien an tu-kleiz/War-Sav 

Anzav a ra dizalc’hourien ha dizalc’hourezed a-gleiz bezañ bet souezhet war an tu-mat gant ar vot e parlamant Pariz diwar-benn ar yezhoù a reer « Rannvro » anezho.

En ostant d’ an hentoù proseziñ evit kas dirak ar c’huzul bonreizhel al lezenn nevez gant kevredigezhioù gouestlet da zifenn al likelezh en ur mod strizh e fell deomp ezteurel ar pezh a heul :

Dont a ra ar vot mañ da suraat an deskadurezh dre soubidigezh ha digeriñ a ra hentoù nevez en deskadurezh publik.

Da gentañ ez eo trec’h an dud bet oberiant da adperc’hennañ hor yezh hag o c’henseurted er broioù all n’o doa ket gortozet a lezenn-mañ evit mont war hent an oberoù pleustrek da dreuzkas ar yezh.

Fellout a ra deomp e rofe diouzhtu maered Breizh a zo dleet en ober an treziad skol d’ar skolioù Diwan kenkaz n’o defe ket graet kement-se c’hoazh hep gortoz dekred arverañ al lezenn

Karout a rafemp e chomfe an holl war evezh evit ma vo lakaet e pleustr perzhioù al lezenn nevez e Liger-Atlantel ivez, kar el lodenn se deus hor bro servijoù an deskadurezh-stad a vez aliez a feiz fall a-benn lakaat e pleustr ar polikerezhioù publik gouestlet d’ar brezhoneg.

Ouzhpenn d’ar c’helenn al lezenn a ro gwirioù evit ar panellerezh er strollegezhioù foran ha war an hentoù koulz ha d’an arouezennoù diakritek.

D’ar stad eo da lakaat e pleustr al lezenn nevez er servij publik a zeskadurezh. A-benn reiñ ur ster d’an arakadennoù e vo ret stummañ ar gelennerien ha digeriñ muioc’h a bostoù er c’honkourioù. Kenkaz ne vefe ket graet kement all e vefe reizh deomp lakaat ar stad dirak he c’hirriegezhioù da heul al lezenn votet gant he dilennidi.

Padal ma na vestroniomp ket amañ e Breizh ar binviji ensavadurel evit mont war an hent mat e vo start lakaat e pleustr ar pezh zo bet gounezet.

Hep barregezh lec’hel nevez, evel hini ar c’helenn hag ur youl bolitikel splann gant ar c’humunioù, an departamantoù, an tolpad-kerioù, ar Rannvro n’ez aimp ket gwall bell.

Evit treuzkas ur yezh ha lakaat anezhi da vevañ hon eus ezhomm doareoù ambrougiñ war dachenn an dudi, an obererezhioù sevenadurel, ar sportoù, ar mediaoù, ar stummadur, ar vuhez ekonomikel hag a zo war dachenn barregezhioù lec’hel termenet gant an Emglev Stad-Rannvro evit yezhoù Breizh hag o implij er vuhez foran.

Ezhomm hon eus un emsav pobl ledan evit lakaat ar Rannvro da c‘houlenn groñs digant ar gouarnamant kreiz un emglev youlek evit mont da vat war hent ofisialisadur hor yezh vroadel.

War-Sav.