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Rassemblement devant la permanence de Malgorn jeudi 18 heures

Bernadette Malgorn représentante de Sarkozy déclare : “Nantes n’est pas en Bretagne !”

Alors que la candidate Bernadette Malgorn déclare aux différentes associations oeuvrant pour l’unité territoriale de la Bretagne, être clairement engagé pour la Réunification, elle déclare au journal l’express que la « Loire-Atlantique n’est pas en Bretagne ».

Bernadette Malgorn tente de charmer l’électorat Breton avec des promesses sur l’évolution institutionnelle de notre pays. Elle voudrait bien s’éloigner de son image sarkosyste, réactionnaire et autoritaire, mais c’est bien ces valeurs qu’elle et sa liste défendent. Elle voudrait passer pour une femme franche et à l’image de la Bretagne, mais c’est bien un projet politique commun au pouvoir centrale qu’elle défend.

C’est d’ailleurs une photo d’elle en costume de préfet qu’elle a choisi pour illustrer son compte de campagne twitter. Le préfet personnage non-élu, désigné par le pouvoir central et chargé de faire appliqué la politique choisie par Paris, ici en Bretagne. C’est d’ailleurs sous l’égide des préfets qu’on été créé les régions et qu’a été entériné, et même encouragée, la partition administrative de la Bretagne à partir de 1972. Pas étonnant donc qu’en tant que préfète, Bernadette Malgorn considère que la Bretagne, son territoire et son identité sont avant tout ceux décidés par le gouvernement central et appliqués par les préfets.

Pourtant Bernadette Malgorn répond aux questions des associations “Kevredigezh Breizh” ou “Bretagne Réunie” en exprimant sa volonté d’aller au delà de la résolution, de créer une commission spéciale pour la Réunification. Elle dit vouloir même vouloir s’appuyer sur la proposition de décret déposée par le conseiller régional De Legge au Sénat, dont BREIZHISTANCE-PSB a déjà démontré le caractère artificiel et antidémocratique.

De plus en plus la société civile Bretonne pense et imagine son avenir au sein d’une Bretagne unie territorialement comme le prouve la présence au second tour en Bretagne administrative, et pour la première fois, d’une liste clairement engagée en faveur de l’autonomie celle d’Europe Ecologie Bretagne. D’ailleurs Bernadette Malgorn et la majorité des listes l’ont bien compris puisque tous se sentent obligés de donner un avis favorable sur la question, l’UMP et le PSF en tête malgré une incapacité de ces organisations a dépasser le cadre administratif que l’on nous impose.
Notons toutefois que Bernadette n’a pas hésité à déclaré dans Ouest-France du 16 mars que le fait régional breton n’avait pas de traduction politique !

Pour une Bretagne unie et solidaire, pour que Les représentants de Paris comme Bernadette Malgorn apprennent à nous respecter , pour dire à LeDrian que nous voulons des actes et non des paroles en faveur de l’unité de notre pays : rassemblement pacifique jeudi à Rennes devant le local de campagne de Bernadette Malgorn au croisement de la rue Saint Hélier et du boulevard Laennec à Rennes jeudi 18 mars à 18 heures.

Les Bretonnes et les Bretons attendent un véritable statut démocratique afin de pouvoir s’exprimer, nous ne nous suffiront pas des fausses promesses de Bernadette Malgorn et d’élections incapables de se libérer des enjeux hexagonaux.

Nous agirons pour que le prochain Conseil Régional de Bretagne en partenariat avec le Conseil général de Loire Atlantique, soutenus par les élus du Conseil Régional des Pays de la Loire s’étant engagés en faveur de l’unité territoriale, engagent d’ici 2014 auprès du pouvoir central un processus permettant au peuple Breton de s’exprimer librement sur l’unité territoriale et l’évolution de son cadre institutionnel.

Breizhistance/PSB

Le seul bulletin de vote capable de faire émerger une force crédible, émancipatrice, solidaire, réellement écologiste et à gauche du PSF en Bretagne, le dimanche 14 mars, sera celui d’Europe Ecologie Bretagne.

C’est pour cela que BREIZHISTANCE-PSB a fait le choix de proposer et soutenir les candidats de la Gauche indépendantiste sur la liste Europe Ecologie Bretagne. Il est clair que le peuple Breton n’acceptera jamais le projet Sarkozyste porté par Bernadette Malgorn, et que nous devons clairement nous y opposer. Mais nous rappelons que plus le score d’Europe Ecologie Bretagne au premier tour sera élevé, meilleures seront les chances de bousculer l’hégémonie du PSF en Bretagne. C’est aussi parce que nous avons l’objectif de défendre un projet solidaire et
émancipateur pour le peuple Breton que nous affirmons que la liste Europe Ecologie doit maintenir une position autonome vis à vis du PSF, et que nous déclarons d’ores et déjà que nous n’appellerons pas à voter
pour le PSF au second tour.

Il nous semble que de nombreux candidats d’ouverture présents sur la liste EEB et de trés nombreux électeurs bretons sont pour l’émergence d’une gauche bretonne indépendante vis-à-vis du PSF.

Les propositions que nous défendons avec la liste Europe Ecologie Bretagne s’inscrivent clairement dans la voie d’un parlement pour le peuple Breton, qui seul sera à même de nous donner les capacités de mettre en place un projet solidaire et écologiste pour la Bretagne. Seul un parlement Breton nous permettra de transformer le modèle économique défendu par la France de Sarkozy et de créer et pérenniser nos emplois.

Ce projet politique nous le défendons évidemment pour toute la Bretagne, c’est à dire avec le pays Nantais. Cependant, et alors que la liste Europe Ecologie Bretagne s’engage à obtenir l’unité territoriale avant 2014, nous remarquons que la liste Europe Ecologie Pays de la Loire place la coopération interrégionale comme prioritaire face à la résolution de la partition. Au contraire, il nous semble que pour faire face à l’ensemble des problématiques sociales, économiques, écologiques et infrastructurelles qui se posent à la Bretagne, il nous faut d’abord être réunifié territorialement et politiquement. Voilà pourquoi nous n’appellerons pas à voter pour la liste Europe Ecologie en pays Nantais.

Pour autant la seule liste à assumer complètement un projet commun à l’ensemble du territoire Breton, Nous Te Ferons Bretagne, ne porte selon nous pas les garanties nécessaire d’un programme social, économique et écologique favorable au peuple Breton. C’est pour cela que nous n’appelons pas à voter pour eux en Loire-Atlantique et que nous ne donnons aucune consigne de vote.

Pour BREIZHISTANCE-PSC, Jonathan Guillaume.

Malgré la tempête annoncée et la pluie, près de 2000 personnes se sont rassemblées à Nantes ce week-end pour réaliser une fresque humaine en faveur de l’unité territoriale, BREIZHISTANCE-PSB participait évidemment à cette journée.

Hormis la tentative de perturbation d’un petit groupe d’extrême droite, vite repoussée,  la mobilisation était clairement réussie.

Aucun évènement de la campagne électorale n’aura à ce jour été aussi rassembleur. Malgré la volonté affichée par certains élus et responsables politiques, mais aussi par certains médias, de ne pas prendre sérieuxement en compte le problème de la partition administrative de la Bretagne, la société civile a clairement montré que la question ne pouvait être écarté de la campagne actuelle pour les élections régionales.

La population et les militants réunient ce samedi à Nantes ne pourront restés indéfinemment à attendre la Réunification administrative. Cette question devra être réglée avant les prochaines élections territoriales en 2014.

 

BREIZHISTANCE-Parti Socialiste de Bretagne appelle à participer à la manifestation du samedi 6 mars à Nantes organisée par l’ACIPA contre l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes et participera à la randonnée tracto-velo organisé entre le 1er mars et le 6 mars à Rennes le 2 mars entre 17h et 18h.

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La Gauche Indépendantiste Bretagne s’est toujours opposée au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes (voir 100 propositions pour une Bretagne). C’est avec un certain enthousiasme que nous notons que cette revendication, comme d’autres portées par BREIZHISTANCE-PSB, s’impose dans la société et le débat politique.

En effet en région Bretagne nous notons que pas moins de cinq listes s’opposent à l’aéroport à Notre-Dame-des-Landes et quatre en région Pays de la Loire. Les listes de JY Le Drian et Jacques Auxiette comportent de même des candidats écologistes en désaccord avec leurs chefs de files sur la question. Même Christophe Béchu le candidat UMP s’est senti obligé de se démarqué de Jacques Auxiette sur le problème de Notre-Dame-des-Landes ! Tout comme certains partis politiques récemment convertis, nous notons que certains élus PSF locaux émettent de plus en plus de doutes sur le projet, comme Joël Batteux le maire PSF de Saint-Nazaire. Récemment Françoise Verchère, déléguée à l’environnement du Conseil Régional de Loire-Atlantique a abandonné son poste à cause des divergences qu’elle entretenait avec la majorité quant au sujet de l’aéroport.

Si certaines de ces positions, parfois récentes, ne sont pas à créditer de réelles intentions, elles sont encourageantes dans la perspective de la manifestation unitaire du samedi 6 mars à Nantes et de l’abandon du projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes.

Jonathan Guillaume, porte parole de Breizhistance-PSB

 

Aujourd’hui les militants rennais de BREIZHISTANCE-PSB se sont rendus au local de l’UMP à Rennes, pour rappeler au conseiller régional et candidat De Legge que la lutte pour l’unité territoriale de la Bretagne dépassait l’effet d’annonce purement électoraliste. En effet il y a quelques jours le sénateur De Legge déposait une proposition d’amendement au Sénat présentée par l’UMP comme rendant désormais possible la Réunification de la Bretagne. Lire la position de BREIZHISTANCE-PSB ci joint :  http://www.breizhistance.tv/2010/02/07/que-de-leggeule/

Encore une fois l’UMP a voulu tromper les militants de la Réunification avec un amendement qui empêche l’expression démocratique du peuple Breton sur la question. Plutôt que d’attendre d’éventuels actes des élus PSF ou UMP en faveur de la Réunification, nous considérons aujourd’hui que c’est par la mobilisation et la pression de la société civile en Bretagne que nous construirons l’unité territoriale. C’est ce que nous sommes venu faire entendre devant le local de l’UMP en appelant à participer à la fresque humaine organisée par BRETAGNE Réunie et 44=BREIZH le samedi 27 février à Nantes.

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BREIZHISTANCE-PSB appelle à voter pour la liste Europe Ecologie Bretagne pour les régionales 2010

BREIZHISTANCE-Parti Socialiste de Bretagne s’est engagé dans les élections régionales 2010 avec plusieurs objectifs :

–       Le premier étant de doter la collectivité Bretonne de son intégrité en réunifiant notre territoire, et de mettre en place les éléments d’une évolution institutionnelle qui permettra à terme d’acquérir des droits démocratiques nécessaires au peuple Breton pour choisir librement de son avenir économique, sociale et environnemental dans le cadre d’une perspective indépendantiste.

–       Proposer des solutions novatrices en terme d’emplois et de protection de l’environnement, en s’opposant clairement aux projets d’aéroport à Notre Dame-des-Landes et en proposant un plan de production d’énergie autonome écologique en Bretagne.

–       Faire de la Bretagne un territoire capable d’inventer les alternatives économiques et sociales au capitalisme néo-libérale dans un esprit de solidarité internationaliste. Faire de la collectivité Bretonne une vraie force d’opposition au pouvoir central quand celui-ci va à l’encontre des intérêts et de la volonté de la population.

–       Combattre la droite et l’extrême droite en Bretagne, mettre fin à l’hégémonie du PSF en Bretagne en contribuant à l’émergence d’une force politique réelle à sa gauche.

Ces objectifs sont la traduction des « 100 propositions pour une autre Bretagne » que nous avons présenté lors de 15 réunions publiques durant les mois de novembre et décembre 2009 dans toute la Bretagne.

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En 2008 nous nous étions présentés aux municipales à Rennes, Nantes et Saint-Herblain avec la LCR, et beaucoup pensaient que cette expérience était réitérable pour les régionales. Néanmoins ce courant de la gauche radicale, représenté notamment par le NPA et avec lequel nous nous retrouvons de nombreuses fois sur le terrain, n’a pas apporté les garanties de la construction d’un véritable projet politique pour le peuple Breton. En effet les discussion des Etats-majors parisiens ont pris le pas sur la construction d’une dynamique anticapitaliste bretonne, et il s’est vite avéré impossible de proposer avec eux un projet allant vers une évolution institutionnelle et démocratique favorable à la Bretagne. Malgré cela la gauche anticapitaliste partira quand même divisée en Bretagne, incapable d’émerger et d’imposer ses revendications à gauche du PSF. Aucune des trois listes ne semble d’ailleurs prendre en compte le peuple Breton comme objet politique. Et ce courant  politique important en Bretagne risque de se retrouver sans représentant au conseil régional, faute d’un parlement breton ses exigences n’auront aucun écho dans les institutions présentes en Bretagne.

Depuis plusieurs mois BREIZHISTANCE-PSB était en discussion avec la liste « Nous te Ferons Bretagne » et le Parti Breton, car ces partenaires étaient alors selon nous les mieux à même de partager l’objectif d’une évolution institutionnelle en faveur du peuple Breton. Longtemps nous avons cru que cette volonté était sincèrement partagée et qu’elle se concrétiserait dans un esprit d’union.

Au fur et à mesure des discussions force a été de constater que l’esprit unitaire nécessaire à l’élaboration d’un projet politique commun et sérieux pour le peuple Breton n’existait pas du côté de « Nous Te Ferons Bretagne ». Malgré le travail intellectuel fournit par BREIZHISTANCE-PSB autour des « 100 propositions pour une autre Bretagne », à aucun moment « Nous Te Ferons Bretagne » n’a pas voulu intégrer les représentants de notre parti aux discussion programmatique et n’a projeter de lui laisser un espace d’expression. Ce malgré le vote majoritaire des adhérents du Parti Breton en octobre dernier qui souhaitaient engager des discussions afin de construire une liste commune avec la gauche Indépendantiste pour les régionales. Nous avons  appris par la presse le 3 janvier et par les mots de Christian Troadec que nous n’étions plus des partenaires respectables.

Les premières prises de positions de « Nous Te ferons Bretagne » ont clairement montrées qu’elle étaient loin d’être une liste soutenue par « la gauche alternative et des syndicalistes ». A titre d’exemple l’hommage rendu par « Nous Te Ferons Bretagne » à Yves Rocher, qualifié  « d’exemple pour tous les Bretonnes et les Bretons », nous à plus que surpris . A aucun moment la gauche indépendantiste, « la gauche alternative et des syndicalistes » ne peuvent prendre comme exemple un homme qui a pratiqué le féodalisme et l’exploitation outrancière dans ses usines. En Bretagne les usines Yves Rocher, comme les autres multiplient les emplois précaires et ne concèdent à augmenter les salaires qu’au prix d’un rapport de force syndical et de grèves comme en 2008. A l’international Yves Rocher représente tellement bien l’esprit de solidarité des Bretons, qu’en 2006, 133 ouvrières burkinabaises ont dû se mettre en grève pour obtenir entre autres, le droit aux congés maternités et à une augmentation de salaire (elles étaient payées 15 euro par mois, ce qui représente 1/3 du salaire minimum légal burkinabais).

De même les envolées lyriques de Christian Troadec faisant de De Gaulle et Mendès-France ses modèles politiques doivent laisser pantois plus d’un militant breton de gauche .

Les velléités de Christian Troadec à négocier un accord avec le PS (sans l’aval du PB) , très tôt dans la campagne, nous apparaissent  incompatible avec la construction d’un pôle breton autonome. Il nous est apparu assez vite que l’objectif de Christian Troadec n’était pas de contribuer à l’émergence d’une force démocratique Bretonne à gauche du PSF, mais bien de s’assurer un destin politique propre. Ce caractère opportuniste plus que politique de « Nous Te Ferons Bretagne » explique notamment l’évocation de scénarios surprenants. Comme celui d’intégrer  Jean-Pierre Thomin, exclu du PSF pour cumul de mandats, évincé de la liste de J.-Y. Le Drian, opposant à toute dévolution démocratique en Bretagne, avec lequel Christian Troadec a fait savoir qu’il était en discussion…et ce sans résultat.

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Pourquoi nous soutenons la liste Europe-Ecologie-Bretagne ?

En Bretagne administrative nous avons pu constater de nombreuses similitudes entre le texte intitulé “100 propositions pour la Bretagne” écrit par Breizhistance-PSB et  des points essentiels du programme de la liste Europe-Ecologie-Bretagne.

Ainsi au delà des convergences évidentes et nécessaires en matière environnementales principalement illustrées par la volonté de la liste d’aller vers l’autonomie énergétique de la Bretagne, l’investissement de nombreux des membres de cette liste en faveur de la défense de l’eau comme  bien public, ou en faveur d’une rupture du modèle agricole productiviste nous avons pu  constater des similitudes programmatiques importantes.

La reconnaissance du peuple Breton comme sujet politique, afin que les politiques menées en Bretagne soient celles voulus par le peuple breton. (introduction du volets institutions du programme d’EEB)

-Le choix d’Europe-Ecologie-Bretagne d’inscrire sa démarche dans la perspective d’une Bretagne réunifiée.

le choix de de revendiquer la suppression des départements et la mise en place d’une assemblée régionale dotée de compétences législatives, et de gagner un statut d’autonomie pour la Bretagne.

Enfin, et c’est fondamental, en ces périodes d’attaques libérales causant d’importants ravages socio-économiques chez les classes les plus populaires, l’ensemble du projet d’EEB s’inscrit clairement dans la perspective d’égalité sociale et de lutte contre le modèle néo-libéral.

Les militants de la gauche indépendantiste au lendemain des élections municipales et cantonales de 2008 pendant lesquels ils avaient proposé des alternatives démocratiques avaient écrit : “Dans de nombreuses petites communes de Bretagne et dans certains cantons nous notons les fortes poussées de candidatures alternatives sans étiquette clairement identifiée mais où nous retrouvons de nombreux compagnons de route de la gauche indépendantiste. Ce sont bien sûr des données très locales qui ont déterminé leurs succès mais elles révèlent elles aussi un désir de changement face à la dualité droite-PS, tout en ayant une forte coloration bretonne et plutôt à gauche.

Les bons scores des autres listes de la gauche radicale dans des communes importantes (LCR notamment à Saint-Brieuc, Karaez..) ou de la gauche alternative ( Morlaix : Verts et alliés UDB et LCR, liste Verte indépendante à Rennes…) révèle un fort potentiel de convergences à construire, d’abord dans les luttes populaires pour les salaires et l’emploi, les services publics de proximité, contre la spéculation immobilière, pour la démocratie locale, contre les projets attaquant notre environnement (EPR, THT,OGM, aéroport…),pour la langue bretonne… mais aussi dans le cadre des prochaines échéances électorales

Puis :

La gauche indépendantiste entend prendre toute sa place dans la recomposition de la gauche bretonne, notamment dans la perspective des élections régionales, en défendant clairement la perspective du droit à l’autodétermination nationale du peuple breton

Il aurait été incohérent de faire un tel constat et de ne pas saisir une opportunité de convergences avec EEB et ses composantes (UDB et Verts).Cela aurait été faire preuve de sectarisme, ce n’est pas la ligne de conduite de notre parti.

Visiblement les acteurs d’EEB avaient eux aussi fait le constat que notre  réseaux de militants et sympathisants pourraient constituer un apport non négligeable au rassemblement d‘Europe Ecologie Bretagne, puisque deux acteurs de la gauche indépendantiste seront présents sur la liste Europe Ecologie Bretagne en tant que candidats d’ouverture.

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Il sagit de Lionel Henry, conseiller municipal à Montreuil Le Gast. A 39 ans ce militant est connu pour son parcours au sein de la gauche indépendantiste, ses publications et travaux d’historien, ses investissements divers dans le domaine municipal, pour la langue bretonne dans le système public d’éducation ou la solidarité avec les prisonniers politiques.

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Et de Morgane Cotten, militante syndicale agé de 26 ans, originaire de Karaez/Carhaix. Cette enseignante en filière immersive (Diwan) est connue pour avoir comme des milliers de  jeunes de son âge prit part à la lutte contre le gouvernement central lors de la tentative de mise en place du CPE. Elle figurait par ailleurs sur la liste “Rennes à gauche” aux municipales de 2008.

D’un point de vue stratégique :

Il est clair que nous apportons notre soutien à Europe Ecologie Bretagne en raison de la cohérence politique du programme et de la volonté des ses animateurs de contester au PS français le leadership de la gauche en Bretagne.

Voter pour EEB au premier tour ce n’est pas seulement voter pour un programme et une liste où l’on retrouve de nombreux militants de terrain c’est aussi contribuer à bousculer le parti qui en Bretagne est le plus conservateur sur le plan institutionnel : le PS qui détient la majorité au conseil régional et dans quatres département sur cinq.

A l’heure où l’UMP entend réformer les territoires dans un sens qui n’ira sûrement pas dans le sens d’une plus grande égalité territoriale ni de la reconnaissance du caractère plurinational de l’état fançais, au moment où Sarkozy nous envoi  le préfet Malgorn pour faire passer la pilule de cette réforme en Bretagne, il convient de renforcer par notre vote, lors de ces régionales qui seront sans doute les dernières, le pôle politique qui incarne le mieux la volonté de construire un pouvoir politique en Bretagne depuis la gauche.

Ce sera le sens de notre contribution et nous souhaitons que ces convergences, pour perfectibles qu’elles soient, en annoncent d’autres pour l’avenir dans luttes et dans les urnes.

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Le cas de la Loire-Atlantique

Notre investissement dans la lutte pour l’unité territoriale n’est pas à démontrer. Néanmoins nous considérons que la liste d’Europe Ecologie en Région Pays de la Loire, n’apporte pas les mêmes garanties qu’en région Bretagne. Ce qui est possible en région Bretagne n’est pas encore possible en pays Nantais.

Le manque de volonté de « Nous Te Ferons Bretagne » et du Parti Breton à construire une dynamique unitaire, nous a conduit à l’impossibilité d’élaborer un projet politique ensemble. Ce  désaccord politique ne nous permet pas d’appeler à voter pour eux. Dans le cas où la liste « Nous Te ferons Bretagne » se présenterait effectivement dans la région Pays de la Loire, il reste néanmoins certain que cette liste sera la plus sincèrement engagée dans la construction de l’unité administrative de la Bretagne.

Le Bureau national de Breizhistance.PSB, le 07 février 2010.

rn05_2500007_1_px_501__w_ouestfrance_BREIZHISTANCE- PSB dénonce l’hypocrisie du sénateur-maire- conseiller régional UMP Dominique de Legge. Un mois avant les élections régionales il vient de déposer au Sénat un projet d’amendement présenté comme « base de travail » à la Réunification, et comme rendant dorénavant « la Réunification de la Bretagne juridiquement possible ».

Cette proposition purement électoraliste avant les régionales, n’apporte en réalité rien de nouveau sur le fond. Dire qu’il est légalement impossible de Réunifier la Bretagne, et que l’amendement le permet maintenant, est faire passer l’UMP et Dominique de Legge pour les hérauts de l’unité territoriale Bretonne qu’ils ne sont pas. En pays Nantais, l’UMP mène la même tactique de contentement des réseaux militants en présentant  aux régionales le directeur de communication de Sarkozy, Franck Louvier, sois-disant récent convertit à la Réunification. Il s’agit bien ici de mieux communiquer pour ne rien faire ensuite.

En effet les articles concernant les modifications territoriales permettent déjà, avec de la volonté politique, d’entamer un processus de Réunification (L.4122-1* du Code général des Collectivités Territoriales et L. 72-1* de la Constitution) . Le problème du cadre législatif actuel est avant tout qu’il ne permet pas aux bretons de déterminer eux mêmes et démocratiquement leur cadre territoriale, puisque que les articles L.4122-1 et L.72-1 peuvent être interpréter comme donnant à la collectivité Pays de la Loire la possibilité de s’opposer à la volonté des Bretons et de leurs collectivités.ttt

Or l’amendement déposé par Dominique de Legge, appuie une nouvelle fois ce droit de veto, puisque l’article proposé ne permet pas au Conseil Général de Loire-Atlantique et au Conseil Régional de Bretagne de se passer de l’aval du Conseil Régional des Pays de la Loire. De plus il reviendrait encore à l’Etat Français de décider d’appliquer ou non la volonté du peuple Breton et des collectivités sensées les représenter en Bretagne.

A moins qu’un jour une assemblée du Conseil Régional PdL et son président dise « ok » à la Réunification de la Bretagne, ce qui n’est clairement pas envisageable, l’article de M. De Legge stipule que « Lorsqu’une consultation a été organisée, le rattachement ne peut être décidé que si le projet recueille, dans chacune des deux régions concernées, et dans le département concerné, l’accord de la majorité absolue ». Concrètement, dans le cas de l’application de cet amendement, la Réunification ne se ferait pas même si la majorité des Bretonnes et des Bretons de Loire-Atlantique et de Bretagne administrative votaient favorablement.

Si les représentants des collectivités en Bretagne, comme M. De Legge, souhaitaient vraiment l’unité territoriale, ils n’appuieraient pas une situation dénoncée depuis longtemps par l’ensemble des acteurs de la Réunification. La légitimité démocratique est bien de pouvoir permettre au peuple Breton de décider lui-même de son cadre administratif, sans la région Pays de la Loire, et même sans l’Etat Français.

Si les représentants du CG 44 et du CRB4 veulent réellement être les acteurs de la Réunification, ils doivent élaborer une stratégie et travailler au sein de leurs collectivités à la construction de l’unité territoriale, plutôt que de se placer dans une position attentiste vis à vis du Parlement Français. Notamment en dépassant la simple commission mixte existant entre le CG44 et le CRB4, en travaillant sur la question avec les représentants de la société civile (syndicats, fédérations sportive, ….), en invitant fermement le Parlement à légiférer sur le sujet.

rrrrPour BREIZHISTANCE- PSB un referendum sur la question de l’unité territoriale ne pourra se faire légitimement qu’avec les habitants de l’ensemble de la Bretagne. En cas d’organisation de ce referendum, la collectivité Pays de la Loire ne devrait avoir les moyens d’exercer des pressions médiatiques pendant au moins un an avant l’organisation de celui-ci, afin de ne pas influencer le vote en pays nantais. Si la question de l’unité territoriale devait être posée aux Bretonnes et aux Bretons, elle ne pourrait s’abstenir d’une question logique sur l’évolution institutionnelle de la Bretagne.

Jonathan Guillaume, pour BREIZHISTANCE-PSB

*L’article L. 4122-1 du code général des collectivités territoriales est ainsi rédigé :

Les limites territoriales des régions sont modifiées par la loi après consultation des conseils régionaux et des conseils départementaux intéressés./ La modification des limites territoriales des régions peut être demandée par les conseils régionaux et les conseils départementaux intéressés. Lorsque cette modification est demandée par délibérations concordantes des conseils régionaux et des conseils départementaux intéressés, elle est prononcée par décret en Conseil d’Etat./ Lorsqu’un décret en Conseil d’Etat modifie les limites territoriales de départements limitrophes n’appartenant pas à la même région et qu’un avis favorable a été émis par les conseils départementaux et par les conseils régionaux, ce décret entraîne la modification des limites de la région.

*Extrait art. L.72-1 :

« Lorsqu’il est envisagé de créer une collectivité territoriale dotée d’un statut particulier ou de modifier son organisation, il peut être décidé par la loi de consulter les électeurs inscrits dans les collectivités intéressées. La modification des limites des collectivités territoriales peut également donner lieu à la consultation des électeurs dans les conditions prévues par la loi »

L’été en Bretagne c’est la saison des festivals, cette année n’a pas dérogée à la règle, malgré quelques baisses de fréquentations des plus importants,il n’est pas une partie de notre pays qui n’aie connue de grands rassemblements festifs , artistiques , musicales, cinématographiques…
Ce phénomène, unique dans l’hexagone par son ampleur, ne lasse pas d’étonner. Il est révélateur d’un savoir-vivre culturel, d’une grande richesse d’expressions,d’une grande créativité, d’un sens certain de la convivialité et cela malgré les critiques nécèssaires et légitimes contre “le toujours plus grand et plus nombreux”, le gigantisme, les dérives commerciales. Il est surtout révélateur d’une grande capacité d’auto-organisation des Bretons.
Bien sur toutes ces festivités n’accordent pas la même place à la protection de l’environnement, à la place de la langue Bretonne dans leurs enceintes et dans leurs communications, à l’espace accordé aux artistes locaux…On pourrait  aussi parler de l’absence quasi-totale dans ces festivals de stands d’information et de permanence contre les agressions sexistes ou comportements super machos de fin de soirées, à quand un stand du planning familial et une permanence anti-viol et agressions tenues par des militantes féministes dans l’enceinte des Vielles Charrues ,par exemple, à coté de celui de Aides ou de la Confédération Paysanne ?
Enfin nous sommes au coeur d’un hiver assez rude, et pour se réchauffer on pense souvent aux bons moments passés sous le soleil des festivals.
Bien sur en  juillet 2009 le “boss” Bruce Springsteen a salué les bretons dans leurs langue lors de la grand messe du Poher et les médias parisiens en sont encore ébahis.
Mais revenons un peu en arrière…pour chasser la froideur nauséabonde du débat poussif sur l’identité nationale impulsé par Eric Besson….revenons à l’été 2007… Et continuons à regarder comment nous sommes perçus….par des artistes étrangers.
Au détour d’une prise de parole d’artistes entre deux morceaux  et à l’ombre des nombreux Gwenn ha Du du public on avait pu y entendre de drôles de choses dans ces festivals…A commencer tiens, par Rachid Taha qui lors de son passage aux Jeudis du Port à Brest en juin 2007 n’avait pas hésité à déclaré “La Langue Française est étrangère en Bretagne“. On est bien loin de circonvolutions complexées de certains “militants Bretons” à propos des bienfaits  du “bilinguisme”, de la diversité culturelle “régionale” et autres salades indigestes à la sauce de colonisés du ciboulot. On remarquera que c’est bien des Gwenn ha Du qui sont brandis par centaines dans ces grands rassemblements et pas des “Triliv” (surnom peu affectueux du drapeau français en langue Bretonne) ou encore moins des oripeaux aux couleurs du conseil régional de la Bretagne croupion (c’est quoi déja leurs logo ?).
Il y avait une autre artiste qui s’appelle Kenny Arkana (une rapeuse originaire de Marseille et qui partage avec nous un rejet des lois liberticides, du racisme, des discriminations, du libéralisme…) qui lors de son concert aux Vielles Charrues n’avait pas hésité à rappellé au public : “La Bretagne c’est pas la France ! ” et ce par deux fois… Pas de sifflet, pas de huées mais un tonnerre d’applaudissements de milliers de spectateurs et un immense sourire sur la bobine des militants indépendantistes présents. Là encore quelle décalage avec la frilositée de certains artistes bretons (fussent ils classés pour certains dans la rubrique “Musique bretonne”….) à s’engager.
Quelques jours avant, à Rennes, la même avait déclaré à Ouest-France lors du Festival “Quartier d’été” : “Les Bretons sont les latinos américains de l’hexagone, ils ont toujours le poing levée”…Tu l’as dit Kenny ! A y regarder de plus prés il semblerait bien que ce constat ne soit pas qu’une référence au lointain passé des Bretons dans le domaine des luttes sociales, de leur langue ou de la défense de l’environnement….Ce sont autant de signes positifs que le potentiel de la “Breizhistance” existe bel et bien.
Certains artistes Bretons semblaient frétiller d’aise à la perspective d’aller défiler lors du début de mandature de Jean-Yves LeDrian, sur les Champs-Elysées dans le cadre d’une grande opération de comm’ du Conseil Régional (de gauche !), c’est peut être pour ça qu’ils s’étaient gardé de faire des déclarations pleines de bon sens du genre de celles de Kenny Arkanek  et Rachid Kertaha…Ca aurait pu froisser…Bon, nous nous n’étions pas aller sonner ou danser sur les Champs-Elysées, peut être d’ailleurs que l’argent  (public) alloué à cette opération de comm’ aurait pu être investi dans une campagne de promo pour l’enseignement de la langue Bretonne aux adultes par exemple…Par contre on continuera à participer à la Breizhistance, à lutter avec ceux qui comme nous pensent qu’il faut protéger notre environnement, pour la langue Bretonne, pour la construction d’un syndicalisme Breton, pour l’unité territoriale de la Bretagne et notre droit à l’autodétermination nationale, pour pouvoir vivre, travailler, et décider chez nous, car on fait le pari qu’il n’y pas que dans le domaine  des festivals  que les Bretons ont une grande capacité d’auto-organisation. Et vous ?

En attendant , on vous laisse savourer et méditer la phrase de Kenny Arkana chapardée par des vidéastes de passage…on la dédicace à Jean-Luc Mélanchon, Marine Lepen et bien sur Eric Besson !

L’équipe de Breizhistance.tv

FRANCE

Près d’une centaine de personnes se seront rassemblés, hier lundi 1er février, devant le palais de Justice de Nantes pour soutenir Alan Haye et Jonathan Guillaume. Jugés pour « rébellion », les trois heures de procès auront permis de mettre en avant les vrais motifs de leurs interpellations le 25 avril dernier : la criminalisation des militants. C’est bien l’action de la police et des policiers français qui ont été jugés hier. Comme les prévenus l’ont rappelé pendant le procès, les gardes à vues sont proches du million pour l’année 2009 dans les territoire français, tout comme les condamnations pour « outrage » ou « rébellion » qui se sont démultipliées depuis plusieurs années. La France de Sarkozy met actuellement en place un véritable système répressif et institutionnel dans l’Hexagone et en Bretagne, qui facilite la criminalisation de l’action politique ou syndicale de ceux qui osent l’a contester. Ce dont nous avons besoin en Bretagne ce n’est pas de la police française, pas d’un Jacques Auxiette ou d’une Bernadette Malgorn « super-flics », mais d’une véritable démocratie capable de donner au peuple Breton le capacité d’appliquer ses choix de société.

La peine requis pour Alan et Jonathan est de 750 euro d’amende chacun, le verdict aura lieu le 1er mars. Malgré une plaidoirie et des éléments sans équivoques il paraît malheureusement peu probable, notamment du fait du caractère politique de l’affaire, que le juge reconnaisse la culpabilité des policiers en relaxant nos deux compatriotes.jonatha

Preuve de cet acharnement politique dénoncé par le collectif 44=Breizh et ses soutiens, un militant connu du collectif s’est fait arrêter sans raison ni motif au sortir du tribunal alors qu’il finissait de ranger du matériel avec quelques camarades. Une trentaine de personnes se sont relayées devant l’Hôtel de police de Waldeck-Rousseau lundi soir de 20h à 0h00, avant de recommencer ce rassemblement de soutien le lendemain matin. Sorti dans la journée, Ewan, ne fait pour l’instant l’objet d’aucune poursuite. Nous dénonçons évidemment ce « coup de pression » de la police française dont les collègues venaient d’être ridiculisés quelque instant auparavant.

Nous appelons évidemment à participer à toute les actions de solidarité qui se présenteront.

Pour Breizhistance-PSB,le porte-parole Thomas Baudoux

nantes-dcd2fBREIZHISTANCE – Parti Socialiste de Bretagne appel à participer à la manifestation de soutien aux sans-papiers du samedi 6 février à Nantes, contre le racisme et pour la fermeture des centres de rétentions. Nous avions été prévenus lorsqu’il était ministre de l’Intérieur, il fait aujourd’hui appliquer par Besson sa politique de ségrégation contre les immigrés. Le gouvernement de Sarkozy montre clairement comment il considère la misère des femmes et des hommes espérant trouver en Europe de quoi vivre. Calais, les 124 réfugiés kurdes de Corses, les décès par « négligences » dans les centres de rétention, comme celui de Salem Souli, les mauvaises conditions d’incarcérations, la séparation des familles, etc… sont là pour nous rappeler la violence de cette France mode UMP. Néanmoins c’est tout un système de ségrégation et de traque qu’il faut aussi dénoncé : celui des dénonciations dans les hôpitaux, les administrations, les banques, etc…. quoi qu’on en dise il n’y a rien de démocratique dans la mise en place d’un système de délation tel que celui-ci.

 Au vue de cette politique pas étonnant que le gouvernement ait choisi d’organiser un débat sur « l’identité nationale » plutôt que sur « la solidarité entre les peuples » ! Les réponses démocratiques aux questions soulevées par les mouvements de population des pays pauvres vers les pays riches, la multiculturalité et la plurinationalité de l’Etat Français, ne seront pas trouvées dans la constante référence aux symboles archaïques de la France (tricolore, marseillaise, unité, centralistaion, etc…) promu par le « Grand Débat nationale ».

Malgré cela des immigrés sans-papiers luttent, et même parfois s’organisent dans des syndicats bretons ou hexagonaux, pour conquérir leur dignité et leurs droits. Que ce soit dans les mouvements de protestation dans les centres de rétentions, ou lors des différents mouvements sociaux impulsés par les travailleurs sans-papiers, comme le plus récent du 12 octobre 2009.

Alors que Besson à récemment annoncé la fermeture du Centre de Rétention de Rennes, en Bretagne montrons notre solidarité aux travailleurs sans-papiers et luttons contre la politique française de ségrégation. Qu’importe son origine, travailleur breton ou travailleur immigré nous avons les mêmes droits !

BREIZHISTANCE-PSB comité Nantes/Naoned